Communication Organisation 

 

Regards croisés RH et partenaires sociaux sur la
mise en œuvre de la GPEC

L’objectif de la Loi du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale était de conduire les entreprises à anticiper, de manière concertée, les mutations de l’emploi et à accompagner  « à froid » l’adaptation des salariés à ces évolutions.

Énième mode RH, véritable outil de dialogue entre les partenaires sociaux, vision administrative et mécanique de la gestion des ressources humaines, initiation d’une nouvelle dynamique de la mobilité et de l’employabilité ? Les débats passionnés des professionnels des RH autour de la GPEC ont rarement créé autant d’attentes de la part des différentes parties prenantes : politiques, administrations, syndicats, DRH, managers, collaborateurs. Des accords ont été négociés, puis signés, certains médiatiques, d’autres innovants, beaucoup consolidant et institutionnalisant des pratiques bien rodées. Pour quels objectifs ? Pour quels changements ? Cet ambitieux objectif est-il rempli, l’esprit de la loi respecté ? La GPEC est-elle cet outil de convergence, de responsabilisation accrue des différents acteurs, de génération de pratiques innovantes au sein des entreprises, de réconciliation, enfin, des compétences individuelles et collectives ?

5 ans après la loi et alors que le monde traverse une crise profonde, WKRH WKCE et Oasys Consultants ont interrogé DRH et IRP sur le regard qu’ils portent sur l’intérêt et les effets de ces accords pour ceux qui en ont  signés et sur les espoirs ou perspectives de ceux qui s’y intéressent : 499 IRP et 407 DRH ont répondu simultanément aux 35 items de l’étude. Pour les optimistes, l’obligation de la négociation porte ses fruits : les partenaires se réunissent et échangent sur les perspectives stratégiques, des outils se mettent en place, la prévision sert aux politiques modernes de gestion des ressources humaines. La signature d’un accord de GPEC augmente sensiblement les moyens d’accompagnement et de formation pour la mobilité professionnelle, même si IRP et DRH ne sont pas d’accord sur le caractère suffisant et la pertinence de ce qui est mis en œuvre.

http://tre.emv3.com/HS?a=DNX7CkKifaMr8SA9MOOXdATnGHxKRnu91QCr

 

Internet, outil de veille stratégique

Comprendre son environnement, anticiper les tendances, devancer les concurrents sont autant d'impératifs qui s'imposent aux dirigeants souhaitant développer leur entreprise. Internet constitue alors pour eux un espace tout désigné pour lancer des actions de veille stratégique. À condition de respecter quelques règles de base.

http://www.tpe-pme.com/developper/multimedia/dossiers/14030-internet-outil-de-veille    

 

Anatomie de la soumission

Des foules qui se rassemblent pour prier avec dévotion un dieu invisible, des quidams qui se transforment en tortionnaires, une petite victime qui s’éprend de son bourreau, etc. Jusqu’où sommes-nous soumis?

Les situations extrêmes révèlent parfois ce qui, dans la vie ordinaire, pourrait passer inaperçu.

http://www.scienceshumaines.com/tous-soumis-_fr_24911.html

http://www.scienceshumaines.com/quatre-formes-de-soumission_fr_24920.html  

 

Bâtir une stratégie de rémunération

Située au coeur de la gestion des ressources humaines, la stratégie de rémunération est un levier majeur de management de la performance. Découvrez les fondements d'une stratégie de rémunération efficace.

http://www.journaldunet.com/management/ressources-humaines/systeme-remuneration  

 

Faire une bonne première impression

Entretien d'embauche, déjeuner d'affaires ou première journée de travail... Lors d'une prise de contact, l'image que l'on donne de soi se révèle déterminante pour réussir la première impression. Une image d'autant plus importante à façonner méticuleusement qu'il est difficile de s'en défaire. La suite de la relation en dépend bien souvent.

Parce que l'on a rarement une deuxième chance de faire bonne impression, mettez tous les atouts de votre côté en respectant ces quelques règles.

http://www.journaldunet.com/management/vie-personnelle/impressionner

 

Comment tirer le meilleur de vos défauts

L'expression populaire veut que l'on ait les défauts de ses qualités. Et si chacun avait également les qualités de ses défauts ? Si nos petits travers se révélaient des vertus ?

Colérique ou timide, maniaque ou désordonné, nous avons tous des traits de caractère qui nous pénalisent au bureau, en entretien ou en réunion. Les connaitre est certainement un premier pas pour y répondre. Comprendre ce qu'ils révèlent de positif en nous en est un autre.

Découvrez comment transformer vos défauts en qualité.

http://www.journaldunet.com/management/efficacite-personnelle/defaut-travail

 

Comment ne plus s'ennuyer au travail

Vos pauses café se rallongent, vos coups de fils personnels se multiplient, vos mails personnels sont consultés vingt fois par jour... Ces symptômes témoignent d'une inactivité croissante dans votre travail. Bien souvent, ils révèlent l'ennui qui berce vos journées au bureau.

Même si cette situation peut sembler enviable à ceux qui croulent sous le travail, elle est susceptible de générer un profond malaise chez ceux qui en sont victimes. Parfois appelé bore out -en référence à burn out ou épuisement par le travail- l'épuisement par l'ennui peut se révéler dangereux. Dans ce cas, ce n'est pas le stress qui est la cause du malaise, mais l'absence de défi.

Découvrez quelques pistes pour retrouver de l'intérêt dans votre activité et éviter de s'enfermer dans des journées de travail rythmées par l'inactivité.

http://www.journaldunet.com/management/vie-personnelle/bore-out

 

Urgences: apprenez à dire non !

Régulièrement, un collègue ou votre manager cherche à vous confier une mission de dernière minute, et vous n'arrivez pas à dire non : que répondre ? De quelle manière se positionner ? Comment gagner cette bataille ?

http://www.super-secretaire.com/magazine/vie-pro/bien-dans-son-job/cid4431-urgences

 

Internet, troisième média fréquenté par les Français

L'étude Media in Life de Médiamétrie confirme la suprématie des médias traditionnels dans les pratiques des Français mais montre également leur intérêt grandissant pour Internet.

http://www.e-marketing.fr/Breves/Internet-troisieme-media-frequente-par-les-Fran-ais  

 

Absentéisme : le débat est ouvert

Le taux d’absentéisme s’emballe depuis quelques années ? Les remplacements deviennent ingérables ? Les arrêts courts et répétés se multiplient ? L’absentéisme perturbe dans les entreprises, d’autant que celles-ci doivent désormais faire face à des délais serrés et à des exigences fortes de qualité. Le phénomène est difficile à définir car il ne recouvre pas toujours les mêmes réalités. Maladies, congés maternité, congés annuels, temps partiels… le taux ne se calcule pas de la même façon d’une entreprise à une autre. Qui plus est, d’un pays à un autre, les comparaisons peuvent s’avérer hasardeuses car il n’existe pas de définition universelle et homogène de l’absentéisme.

Pour les spécialistes, il existerait un taux incompressible compris entre 3,5 et 4 %. Mais que prend-t-il en compte ? En revanche, on sait que l’absentéisme coûte cher aux entreprises et à l’Assurance maladie, ne serait ce qu’avec l’augmentation des troubles musculosquelettiques. Pour les entreprises, l’absentéisme reste un sujet ardu sur lequel elles ont du mal à agir car diffus et difficile à appréhender. Qui concerne-t-il ? Les jeunes ? Les seniors ? Les salariés peu qualifiés ? Ou, au contraire, les cadres surinvestis et qui craquent ? Un service bien identifié ? Un métier particulier ? Pour démêler le faux du vrai, seul un regard précis sur ce qui se passe, au cas par cas, est efficace.

http://www.anact.fr/portal/pls/portal/docs/1/3300374.PDF   

 

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Par stephanegoze , le jeudi 15 avril 2010.

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