Systèmes d'information 

 

Le guide des déploiements sans fil sécurisés dans les
réseaux du monde réel

Un réseau n'est pas sécurisé s'il ne possède pas une sécurité complète, de bout en bout. Cela semble une évidence, mais un grand nombre de stratégies de sécurité sont foncièrement inadaptées et laissent une ou plusieurs failles de sécurité grandes ouvertes. Or, une seule est déjà de trop ! Dans le contexte de déploiement d'un réseau sans fil, où un LAN câblé est probablement déjà installé, il s'agit de s'assurer que le WLAN et son équivalent câblé possèdent les mêmes niveaux de sécurité.

Il existe plusieurs options pour garantir une sécurité E2E dans un réseau sans fil l'authentification, le chiffrement et les VPN par exemple. Ces options peuvent être associées pour former une solution réseau échelonnée et multicouche. Il est donc possible de créer des stratégies de sécurité très flexibles qui permettent à différents types d'utilisateurs de bénéficier précisément des niveaux d'accès dont ils ont besoin pour optimiser le réseau, même pour les déploiements de petite taille tels que les succursales ou les petites entreprises.

Dans ce guide, nous examinerons comment les différents composants sont associés pour créer un réseau sans fil flexible doté d'une sécurité E2E complète.

ftp://ftp2.dlink.fr/Guide_des_deploiements_sans_fil_securise.pdf

 

Pour gérer leurs données, les entreprises ne savent
pas comment s'y prendre

Experian QAS a confié à l'agence Dynamic Markets la réalisation d'une étude internationale sur le data management qui donne aujourd'hui naissance à son sixième livre blanc : « Contact Data Management : une stratégie gagnante ». Cette dernière révèle notamment que plus de la moitié des entreprises n'ont toujours pas mis en place de véritable stratégie de gestion des données. Catherine Beaugé de la Roque, la responsable marketing d' Experian QAS explique les raisons de cette prise de conscience tardive.

http://www.e-marketing.fr/xml/Videos/275/Pour-gerer-leurs-donnees-les-entreprises

 

Les services autour de SAP dominent les services
applicatifs

Selon le cabinet PAC, la TMA et l'intégration liées à SAP représentent 27,4 milliards d'euros dans le monde en 2008. Ce montant représente 9% du total des services informatiques (hors hébergement) et constitue ainsi le premier marché autour d'une application. Géographiquement, l'Europe reste en tête avec 50% du marché (Allemagne : 17% ; Grande Bretagne : 7% ; France : 5%; Reste de l'Europe : 21%) tandis que le Continent américain compte pour 38% et la zone Asie-Pacifique pour 12%.

Si on excepte certains pays émergents comme le Brésil (+5,3%) et la Chine (14,4%), les ventes de licences sont en chute libre. Mais l'éditeur compense avec les services de maintenance pour continuer sa croissance. Selon PAC, il continue d'exister malgré tout dans les entreprises de grands projets de transformation basés sur SAP et le marché du secteur public (projet Chorus, Noyau Commun de Paye, etc.) est en pleine effervescence. Malgré la forte augmentation du nombre de modules disponibles (la gestion de la relation fournisseur et le contrôle de la conformité ont le vent en poupe), la comptabilité-finance domine toujours les déploiements avec 25% tandis que le décisionnel représente 20%. Face à la complexité grandissante des projets, les entreprises préfèrent découper les implémentations en étapes claires pour limiter les risques et voir le début des retours le plus tôt possible.

http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-services-autour-de-sap-dominent  

 

L’assurance retraite sanctuarise ses transactions

Pour sécuriser ses flux en environnement http et XML le régime général de la retraite a implémenté les solutions intégrées de Beware, V-Sentry et I-Sentry, pour accompagner le lancement des services web destinés à faciliter les échanges entre cet organisme et ses partenaires.

http://www.bee-ware.net/files/Cnav.pdf

 

Le référentiel des métiers de l’Internet

Les nouvelles technologies modifient de façon profonde notre environnement du fait de leur contribution à la création de nouveaux métiers souvent méconnus du grand public. Le défaut de formalisation de ces derniers - dans leur inventaire comme dans leur description - contribue à un certain flou. Il convient de constater, notamment :

La méconnaissance par un large public (parents d’élèves, enseignants, journalistes, entreprises, etc.) de la diversité comme des promesses de ces nouveaux métiers (plus de 60 recensés en une rapide analyse) ;

La contribution des nouvelles technologies à l’employabilité des salariés des entreprises, par la montée en compétence dans leur utilisation (notion de maîtrise d’usage) pour s’informer, communiquer, travailler et gérer les connaissances ;

L’insuffisance des formations traditionnelles à répondre à ces nouveaux métiers, faute d’identification des besoins de formation d’une part et de qualification des formateurs comme des axes d’enseignement nécessaires ;

L’attente des entreprises à l’égard de la formalisation des compétences liées à l’utilisation des nouvelles technologies (savoirs, savoir-faire et savoir-être) pour actualiser leurs propres référentiels de compétences et développer la notion de « maîtrise d’usage » ;

Le besoin des recruteurs (traditionnels et sur internet) de mieux formaliser les fiches de postes qu’ils réalisent et la gestion des candidatures, pour promouvoir ces nouveaux métiers et les postes qui en découlent ;

La nécessité d’une interopérabilité entre cette définition des postes et les approches européennes (European e-Skills et ICT-Career Services).

La progression des technologies de l’information et de la communication s’accompagne d’une professionnalisation des pratiques et d’une nécessaire définition des rôles, missions et compétences des acteurs concernés à des titres divers par leur déploiement. Le référentiel s’inscrit dans une démarche dont les objectifs sont de :

Clarifier l’impact des TIC sur de nombreux métiers ou fonctions (communication, ressources humaines, e-business, documentation, informatique, etc.) ;

Disposer d’une base de référence à des fins d’identification des compétences requises des professionnels ;

Formaliser les spécificités et les pré-requis de ces technologies sous l’angle des savoirs, des savoir-faire et des savoir-être ;

Faire évoluer les politiques de ressources humaines par la prise en compte de nouveaux métiers ;

Définir les besoins de formation en précisant quelles sont les connaissances requises par l’exercice de ces technologies ;

Mesurer les évolutions sous l’angle des comportements.

http://www.metiers.internet.gouv.fr/files/Referentiel-des-metiers-de-linternet.pdf

 

La mise en place d’un projet CRM en entreprise :
facteurs clés de réussite, de risques et conduite du
changement

Après des années de forte récession, le marché du CRM (Customer Relationship Management – Gestion de la Relation Client) semble reprendre une croissance réelle, avec environ 14% de progression selon le Gartner en 2008. Les énormes projets qui ont fait le succès de certains éditeurs semblent révolus, au profit d’une démarche souvent Saas.

La crise actuelle peut être considérée comme une opportunité pour la gestion de la Relation Client, en ce sens que les outils de connaissance du capital client et de la relation client sont des moyens clairs d’apporter plus de valeur ajoutée à l’entreprise et d’augmenter la productivité des forces commerciales, conditions sine qua non pour traverser la crise.

http://www.relationclient.net/La-mise-en-place-d-un-projet-CRM-en-entreprise-facteurs

 

Libre, remède à la crise

Avec son image de solution économique, et ses produits désormais éprouvés, le Libre incarne une alternative extrêmement séduisante en période de crise. LeMondeInformatique.fr a pu le constater lors du dernier Salon Solutions Linux. Toutefois, rien n'est encore joué : la crise ne durera pas éternellement, et les acteurs de l'Open Source doivent apprendre à démarcher et à retenir des clients avec d'autres arguments que la gratuité. Notre dossier revient sur des temps forts de Solutions Linux et donne des points de vue sur ce qui attend le monde du Libre.

http://www.lemondeinformatique.fr/dossiers/lire-le-libre-remede-a-la-crise-73.html

 

Cloud Computing : les grands groupes réfractaires au
Cloud public

Les grandes entreprises françaises n’ont pas attendu l’avènement du terme Cloud Computing pour en adopter les principes, essentiellement sous forme de nuages ou infrastructures privés. La position des responsables de production de Thales, AGF, Caylon sur le Cloud.

http://www.zdnet.fr/actualites/it-management/0,3800005311,39706146,00.htm

 

« Common Tags » : le web sémantique sur les rails

Les internautes friands des services du web 2.0 - réseaux sociaux, blogs, partage de photos et de sites favoris, etc. - ont pris l'habitude de « taguer » les différents contenus qu'ils partagent sur la toile à l'aide de mots clés (ou tags). Dans le même esprit, les créateurs de contenus web estampillent leur production à l'aide de ces étiquettes. Sur un blog, cet article serait par exemple accompagné des tags « Common Tag » et « web sémantique ».

Grâce aux tags, les internautes disposent d'un moyen plus fiable pour rechercher des informations sur un sujet précis à l'aide de moteurs prenant en compte ces étiquettes tels que Google Blog Search ou Technorati. Les résultats de recherche sont plus pertinents car c'est l'auteur de l'article, de la photo, ou du favori partagé qui choisit les mots clés (tags) les mieux adaptés pour décrire le contenu.

http://www.indexel.net/applications/avec-les-common-tags-le-web-semantique-est

 

Sur le site du Café
Sur le Web
Par stephanegoze , le mardi 15 septembre 2009.

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