Marketing 

 

L’alliance marketing du Bluetooth et du SMS

Mais que peut bien cacher cette alliance quelque peu inhabituelle, qui est en plus une alliance « marketing » ? Dans cet article nous allons définir légèrement la communication Bluetooth et voir dans quelles circonstances s’est faite la rencontre entre les services Bluetooth et les services SMS et au final la naissance d’une alliance.

L’utilisation du Bluetooth via des bornes devient un usage de plus en plus courant. En effet, ce mode de communication nécessite une ou plusieurs bornes et des téléphones mobiles compatibles Bluetooth. Lorsque ces téléphones se trouvent dans une zone couverte par l’une des bornes, celle-ci envoi une invitation vers les mobiles afin d’accepter de recevoir des informations. Bien entendu, une signalétique prévient les passants qu’une borne Bluetooth est à proximité et qu’ils peuvent recevoir un message par ce biais. Ceux qui ne souhaitent pas recevoir ces informations peuvent laisser leur option Bluetooth désactivée ou refuser l’invitation tout simplement. Les messages diffusés peuvent être de simples textes, des images, de la vidéo ou du son. Ces envois ne nécessitent pas de numéros de téléphones, et les envois se font de manière anonyme vers les portables à proximité.

http://www.projicom.re/2009/09/alliance-marketing-du-bluetooth-et-du-sms/#more-382

 

Combien valent les marques de l'ebusiness mondial ?

Avec une valeur de 100 milliards de dollars, Google reste en tête du classement annuel des marques les plus puissantes du monde, selon le classement Brandz. La valorisation de la marque progresse de près de 14 milliards de dollars sur un an, soit une évolution de 16%.

http://www.journaldunet.com/ebusiness/marques-sites/classement/combien-valent

 

Buzz, fin de partie

Aujourd'hui, le buzz sur Internet s'épuise parce que agences et annonceurs se montrent incapables d'entrer en discussion sincère avec les internautes. Se contentant d'adapter à la toile des schémas développés pour les médias de masse sans se soucier de leur public, ils passent à côté de réelles opportunités.

http://www.e-marketing.fr/TribuneExpert/ConsultTribuneExpert.asp?ID_Article=13

 

Ce que les internautes attendent des sites de marques

Les internautes sont réceptifs aux discours et aux offres des marques en ligne, mais pas à n'importe quoi. Quels contenus et services attendent-ils des marques sur Internet ? Voici les résultats d'une enquête réalisée par le Journal du Net.

http://www.journaldunet.com/ebusiness/marques-sites/enquete-en-ligne/ce-que

 

La pub traditionnelle n’est pas morte, elle va s’adapter

Autant entrer dans le vif du sujet. La tribune de Vincent Labey, P-DG d’Aegency (ciblage publicitaire), récemment publiée sur ITespresso.fr, fait boule de neige. « La publicité traditionnelle n’est pas morte », rétorque Jérôme de Labriffe.

Dans le cadre d’une interview vidéo réalisée en marge de la conférence de presse pour la présentation du Baromètre (morose) de la publicité sur Internet, le président de la branche française de l’Interactive Advertising Bureau (IAB), fait le point sur les travaux actuels du club comme les formats publicitaires vidéo. Il aborde également l’essor de l’Internet mobile qui, grâce à la « rupture » iPhone, ouvre des perspectives intéressantes.

http://www.itespresso.fr/itespresso-tv-j-de-labriffe-iab-la-pub-traditionnelle

 

Un site web peut-il rivaliser avec un conseiller
commercial ?

Alors que le Web se taille une part sans cesse croissante des achats, il n'en reste pas moins que dans de nombreux cas, il reste à franchir cet obstacle du besoin de communiquer avec un humain. Tout d'abord, les limites de la vente se mesurent par de nombreux indicateurs. Le taux de conversion sur Internet, est encore bas (2 % en moyenne, contre 50 % dans un point de vente), le temps de décision est long et ne cesse d'augmenter et les visiteurs sont encore trop souvent insatisfaits et indécis devant « trop de choix ». Tout le monde n'est pas expert et n'a pas le temps de passer de longues heures à compiler de l'information. Internet est parfois vécu comme le « World Wide Wait », expression de Jeff Bezosqui insiste sur les distances intrinsèques : distance relationnelle mais aussi géographique.

L'expérience client peut donc être améliorée et des techniques sont disponibles pour y parvenir. Il est vrai que le client qui ne sait pas vraiment ce qu'il cherche n'est pas assisté sur Internet comme il le serait dans un point de vente physique. Il ne s'agit pas d'un problème d'outil mais de la nature émotionnellement engageante de la relation entre l'e-Consommateur et l'e-Marchand. Par exemple, une étude publiée par Forrester en mars 2008 montre qu'en termes de service, les clients sont plus enclins à utiliser leur téléphone ou à se rendre dans un point de vente physique. Pourtant, sur un site Web, il est maintenant possible de présenter les offres avec tous les éléments propres à rassurer sur le contenu.

http://www.journaldunet.com/ebusiness/expert/38407/un-site-web-peut-il-rivaliser

 

Qu'est-ce que le reciblage publicitaire ?

Selon Criteo, la publicité payante (SEM, campagnes display...) génère près de 70 % de l'audience des sites transactionnels. Cependant, plus de 95 % des visiteurs quittent ces sites sans avoir effectué d'achat. Or la majeure partie des internautes prêts à acheter visite plusieurs sites. Autant dire que les investissements d'un annonceur servent aussi à la concurrence... tandis qu'il profite lui-même des investissements des autres. Mais un annonceur peut encore améliorer sa visibilité et sa performance commerciale via le reciblage publicitaire.

Cette technique fait partie du ciblage comportemental. Si un internaute quitte le site marchand d'un annonceur, celui-ci peut lui adresser un message plus ou moins personnalisé sur un autre site afin que l'internaute revienne sur le sien.

http://www.journaldunet.com/ebusiness/publicite/dossier/qu-est-ce-que-le-retargeting

 

La carte de fidélité sans contact permet à La
Croissanterie de mieux rentabiliser son programme

iPhone, Pass Navigo ou mobile NFC : désormais le programme de fidélité de La Croissanterie est disponible sur un grand nombre de supports sans contact. Grâce à la technologie Airfid développée par la start-up Airtag, l'enseigne bénéficie désormais d'un programme 100% on line. Les explications de Jérémie Leroyer, le fondateur d'Airtag.

http://www.e-marketing.fr/xml/Videos/356/La-carte-de-fidelite-sans-contact-permet

 

Les formats de la publicité sur Internet

Depuis 1994, année de la mise en ligne du premier bandeau publicitaire, l’évolution des formats publicitaires s’est essentiellement caractérisée par une course à la taille des emplacements et par des aller et retours dans le domaine de l’intrusivité.

L’impact visuel des créations publicitaires est naturellement étroitement lié à la taille des emplacements publicitaires qui leurs sont associés exprimés en pixels. Les internautes développant incontestablement au fil du temps un phénomène d’accoutumance et d’ignorance visuelle (banner blindness), les formats s’usent et les taux de clics et autres indicateurs d’efficacité baissent.Pour contrecarrer cette évolution, les professionnels de la publicité ont donc adopté progressivement de nouveaux formats conservant en général les proportions des formats originaux. On est ainsi passé de la bannière classique de 468 x 60 pixels à la méga bannière de 728 x 90, voire à des formats non ou pas encore reconnus pas l’IAB comme les « Longboard » et « Hugeboard » proposés par M6 de 1000 x 90 et 1000 x 250 pixels.L’évolution fut évidemment la même en passant du skycraper au large skyscraper et des rectangles ordinaires aux medium et larges rectangles. Cependant comme le fait très justement remarquer l’étude Smart Admetrics publiée en mars 2009. La taille des formats publicitaires a finalement connu une croissance moindre que celle des définitions d’écrans. Ainsi, une large bannière occupe en moyenne 6% de l’écran en 2009 contre 9% pour la bannière classique en 2004.

http://www.abc-netmarketing.com/-formats-publicite-.html

 

La position de la Cnil sur le droit d’opposition
appliqué au démarchage électronique

Au mois de juin dernier, la CNIL a fait connaître son programme de contrôles pour 2009. La commission annonce une augmentation du nombre de contrôles et privilégiera les contrôles sur place. Le secteur de la prospection commerciale, du marketing fera l'objet d'une attention toute particulière. Les sites web seront par conséquent « sous surveillance ».

Outre ce plan volontariste, il faut noter qu'en 2008 les autres missions diligentées par la CNIL ont été décidées dans le cadre de l'instruction de plaintes ou afin de vérifier les engagements pris par les entreprises à la suite d'une mise en demeure décidée par la formation contentieuse de la CNIL. C'est dans ce cadre que deux décisions ont été rendues par la formation contentieuse de la CNIL les 6 et 27 novembre 2008, décisions qui ont condamné respectivement à 30.000 euros d'amende deux sociétés pour non respect du droit d'opposition, les plaignants ne parvenant pas à se désinscrire des fichiers de ces sociétés.

Ces deux décisions renforcées par l'annonce d'une multiplication des contrôles doivent donc inciter à une plus grande vigilance les responsables de traitement de données à but commercial. Le respect du droit d'opposition passe par un certain formalisme lors de la collecte des informations. Ainsi, si la collecte a lieu via un site Internet, les mentions d'information à l'attention des personnes fichées doivent figurer sur les formulaires utilisés pour collecter les données ainsi que dans les mentions légales des sites Internet. De même lors de prospection téléphonique, les entreprises devront mettre « l'interrogé » en mesure d'exercer son droit d'opposition avant toute autre question.

http://www.journaldunet.com/ebusiness/expert/juridique/41182/la-position-de-la-cnil

 

Sur le site du Café
Sur le Web
Par stephanegoze , le mardi 15 septembre 2009.

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