Management 

 

Manager et motiver

Et si motiver ses collaborateurs, c'était aussi manifester les preuves d'une prise en compte de leurs besoins spécifiques, au travers d'actions et de mesures diffuses : participation, écoute, formation ? […]

D'évidence, la motivation se sophistique. Pour Jean-Louis Muller, directeur à la Cegos, le retour aux stages un tantinet «décalés» sonne le glas des exploits sportifs et autres expérimentations outdoor plus ou moins gratuites. L'heure serait à l'exploitation de situations inhabituelles censées agir à la fois comme des révélateurs et des fixateurs. «Improvisation théâtrale, disciplines artistiques diverses, cirque, slam... La demande traduit aujourd'hui un certain désinvestissement du corps au profit de l'intelligence, et notamment des trois dimensions non rationnelles de l'intelligence : émotionnelle, relationnelle, contextuelle», indique-t-il. Si la motivation vise en priorité les forces de vente internes et a fortiori indirectes, son périmètre atteint depuis peu d'autres types de personnel assistantes commerciales, techniciens, agents de back-office, comptables, administratifs, responsables qualité et sécurité... voire le top management...

http://www.chefdentreprise.com/xml/Fondamentaux/6/Manager-et-motiver/

 

Il existe un lien fort entre la capacité d'une
entreprise à tirer profit de l'expérience client et son
avantage concurrentiel

SAS vient de présenter les résultats d'une étude réalisée avec le cabinet Peppers & Rogers sur la maturité de l'expérience client multicanal au sein des entreprises françaises. Anne-Marie Abisségué, chef de marché chez SAS, en présente les principaux résultats et explique le retard du marché français quant à la mise en œuvre de l'orientation et de l'expérience client.

http://www.relationclientmag.fr/xml/Videos/294/Il-existe-un-lien-fort-entre-la-capacite

 

La protection sociale du créateur d’entreprise

Les organismes sociaux ont réuni dans ce guide, destiné aux créateurs d’entreprise artisanale ou commerciale, les informations essentielles sur leur protection sociale, qui dépend du statut juridique choisi pour l’exploitation de leur entreprise.

Ce guide reprend les mesures en faveur de la création et de la reprise d'entreprises, en particulier pour les personnes sans emploi et les salariés tentés par la création d'entreprise. Plus largement, ce guide vous donne un premier aperçu des démarches à accomplir, des cotisations et contributions sociales (assurances maladie-maternité, indemnités journalières, retraite, invalidité-décès, famille, CSG-CRDS et formation professionnelle) à prévoir lors de vos premières années d’activité. Il énumère également les prestations dont vous pouvez bénéficier au titre de l’assurance maladie et maternité, des prestations familiales ou de la retraite.

Votre caisse RSI (Régime social des indépendants) sera votre seul interlocuteur pour toutes vos cotisations et contributions sociales personnelles ainsi que le versement des prestations maladie-maternité et retraite et vous accompagnera tout au long de la vie de votre entreprise.

Cette édition vous présente également le nouveau statut de l’auto-entrepreneur.

http://www.urssaf.fr/images/ref_guide_2009_Artisans.pdf

 

La gouvernance des PME

La gouvernance d’entreprise n’est pas réservée aux seules sociétés cotées. Elle concerne aussi des milliers d’entreprises moyennes et petites qui entendent améliorer leurs modes de gouvernance pour préparer une succession, ouvrir leur capital, accompagner leur croissance ou simplement rendre plus efficace la façon dont les décisions sont prises et éviter une trop grande solitude du chef d’entreprise. Il faut prendre en compte cette réalité pour éviter que des « règles de bonnes conduites » soient imposées à partir des expériences des grandes entreprises cotées, sans tenir compte des spécificités et des besoins réels des PME. Pour devenir force de proposition dans ce domaine, l’Association Progrès du Management s’est associée à l’Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE) afin de réaliser une enquête sur la gouvernance d’entreprise dans les PME et PMI françaises non cotées. Nous présentons ici quelques résultats de cette enquête, qui est une première en France à l’échelon national.

http://www.apm-tv.fr/pierre-yves-gomez/

 

Approche économique de la biodiversité et des
services liés aux écosystèmes

Après avoir évoqué les réflexions initiées à la fin des années 1980 autour du développement durable et des liens entre biodiversité et activités humaines, le rapport détaille les enjeux socioéconomiques majeurs que représentent pour la France la biodiversité et les services écosystémiques, non seulement aujourd’hui mais pour l’avenir. Il présente des pistes d’action possibles pour une intégration de la dimension économique dans l’approche de la biodiversité.

Il analyse également comment le droit s’est progressivement saisi de ces problématiques de valeur économique de la biodiversité et comment il les a traitées. Un des messages majeurs est que la fixation d’une valeur n’implique pas l’ouverture d’un libre marché et que les échanges éventuels devront impérativement être régulés.

Les concepts impliqués dans les notions de biodiversité, de services écosystémiques et les liens entre ces deux notions sont ensuite précisés, ainsi que les différents indicateurs pouvant être utilisés pour décrire l’état de la biodiversité, son évolution et les pressions qui pèsent sur elle. Le rapport insiste sur le fait que, même si la biodiversité est un objet complexe ayant de nombreuses dimensions, il est aujourd’hui possible de porter, en un lieu donné, un jugement sur son état et son évolution. Sont enfin présentées les hypothèses retenues par le groupe pour permettre une articulation entre les concepts biologiques et l’analyse économique, et, en particulier, l’option consistant à distinguer biodiversité « remarquable » et biodiversité « générale » ou « ordinaire », et à approcher de manière différenciée l’évaluation économique de ces deux volets.

http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_bio_v2.pdf

 

Réussir sa mobilité internationale

En période de crise, faut-il tenter sa chance à l'international ou rester en France ? Jacques-Olivier Meyer, dirigeant d'Intelfi, cabinet de conseil en ressources humaines internationales, livre ses conseils pour vous aider à booster votre carrière au-delà des frontières.

http://www.newzy.fr/videos/3-conseils-pour/reussir-sa-mobilite-internationale.html

 

Faut-il rééquilibrer le partage de la valeur ajoutée et
des profits en faveur des salariés ?

Le partage de la valeur ajoutée fait l’objet d’un débat récurrent autour de la « juste » répartition entre travail et capital. La répartition de la richesse créée doit en effet entretenir la dynamique de croissance à long terme, d’une part, en rémunérant suffisamment les apporteurs de capital (prêteurs ou actionnaires) pour les inciter à investir, et, d’autre part, en permettant aux salariés d’accroître leur niveau de vie au même rythme que leur productivité. Par extension, la question du partage des profits s’est ajoutée à ce débat consécutivement à la hausse récente de la rémunération de l’actionnaire, qui a pu faire craindre un « hold-up » au détriment des salariés ou de l’investissement. Ces évolutions ont placé au premier plan la question du partage des bénéfices afin de traiter sur un pied d’égalité l’entreprise, les actionnaires et les salariés.

La valeur ajoutée des entreprises est égale à la valeur de la production diminuée des consommations intermédiaires. Elle rémunère la contribution des deux facteurs de création de richesse par l’entreprise : les salariés (par les rémunérations), et les détenteurs de capital (par le profit, au sens de l’excédent brut d’exploitation). Le profit lui-même est réparti entre les prêteurs (intérêts), les actionnaires (profits distribués) et l’entreprise (profits investis).

Concernant le partage de la valeur ajoutée, sa stabilité en France sur une longue période recouvre probablement des évolutions hétérogènes entre les entreprises qui optimisent leur processus de production au niveau international et les autres. Concernant le partage des profits, la hausse de la part des dividendes, principalement due à une mutation des modes de financement de l’investissement, est probablement surestimée par l’appareil statistique en raison de la complexité des flux internationaux. En définitive, assouplir les tensions salariales en associant davantage les salariés aux profits semble une solution ambivalente.

http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/Noteveille133-4.pdf

 

Les entreprises de taille intermédiaire : un potentiel
d’innovation à développer ?

Depuis quelques années, la faiblesse du maillon intermédiaire du tissu industriel français est considérée comme un facteur explicatif important du manque de compétitivité des entreprises françaises. En effet, la capacité d’exportation et d’innovation des entreprises est fortement conditionnée à l’acquisition d’une taille critique. À cet égard, l’Allemagne, qui compte près de 10 000 entreprises de taille intermédiaire (entre 250 et 5 000 salariés), disposerait d’un avantage considérable par rapport à la France où seules 4 000 entreprises de ce type sont dénombrées. La création d’un Mittelstand français est ainsi devenue une préoccupation politique majeure comme en atteste l’objectif fixé par le Président de la République de doubler le nombre d’entreprises de plus de 500 salariés d’ici à 2012.

En matière de recherche et d’innovation, les performances des ETI demeurent encore mal identifiées. Ainsi, la comparaison de l’intensité en Recherche et Développement (dépenses de R & D/chiffre d’affaires) par classes de taille d’entreprises en France et aux États-Unis montre que le retard français dans l’effort de R & D est surtout prononcé pour les entreprises de taille moyenne allant de 50 à 250 salariés. Il n’est donc pas si certain que les défaillances françaises en matière d’innovation se situent du côté des entreprises de taille intermédiaire. L’exploitation de la quatrième enquête communautaire sur l’innovation (CIS4) permet de clarifier ce point : les performances des ETI en matière d’innovation sont bien supérieures à celle des PME mais leur comportement général d’innovation ne présente pas de spécificité majeure.

http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/NoteVeille131.pdf

 

Quelle gouvernance mondiale après la crise ?

La conjonction de multiples crises en 2008 (crise financière contaminant l’économie réelle, crise de l’énergie sur fond de crise écologique annoncée, crise alimentaire) suggère l’existence de graves dysfonctionnements au sein de la gouvernance mondiale. Ceux-ci résultent de l'obsolescence d’un certain nombre de principes et d’institutions sur lesquels reposent les équilibres mondiaux depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Aussi le besoin d’une nouvelle gouvernance mondiale s’est-il intensifié. Parmi les réponses avancées, l’instauration de nouvelles régulations, assurées par des instances rénovées ou à créer, est celle qui semble recueillir le plus de suffrages. Un tel choix nécessite de s’interroger sur le rôle des États, de la hiérarchie des institutions, des pays les moins avancés (PMA) et de la société civile dans cette nouvelle gouvernance mondiale d’après-crise.

http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/DossierMondialisation13.pdf

 

Chasse au gaspillage : les pistes pour agir

Crise oblige, chaque dépense est regardée de près par les entreprises. Dans leur ligne de mire, tous ces frais dont elles pourraient se passer mais aussi ces manques à gagner dans lesquels elles ne se sont jamais plongées. Frais généraux, masse salariale, charges immobilières, organisation du travail... Voici ce que vous pouvez mettre en œuvre pour réaliser des économies sans tout bouleverser.

http://www.journaldunet.com/management/direction-generale/dossier/chasse

 

Sur le site du Café
Sur le Web
Par stephanegoze , le lundi 15 juin 2009.

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