Communication Organisation 

L'obligation d'emploi d’un travailleur handicapé

La qualification de travailleur handicapé s’obtient devant la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH). Elle permet de devenir bénéficiaire d’un texte soumis à l’entreprise.

C’est une loi du 10 juillet 1987 (loi n°87-517 du 10 juillet 1987) qui fixe une obligation pour l’employeur d’un établissement public ou privé d’employer des personnes handicapées à temps plein ou partiel dans la proportion de 6 % de l’effectif. Cette obligation concerne d’une part l’employeur occupant au moins 20 salariés et d’autre part le travailleur handicapé ou entrant dans l’une des catégories de personnes bénéficiaires de l’obligation d’emploi. Les entreprises de travail temporaire sont également concernées par cette mesure pour leurs salariés permanents. Le but de cette loi est de favoriser l’accès à l’emploi des personnes en situation de handicap.

http://www.netpme.fr/travail-entreprise/1420-obligation-emplo[...]

 

Êtes-vous au top de votre employabilité ?

Crise ou pas, aucun salarié n'a la garantie de conserver son emploi à vie. Découvrez les conseils de Fadhila Brahimi, coach et un article spécial séniors ! Des outils pour prendre votre carrière en main !

http://emploi.france5.fr/job/efficace/developpement-person[...]

 

L’organisation par les projets d’établissement ou de service

La définition optimale d'une organisation est une préoccupation essentielle au sein des entreprises. Le critère pour évaluer la pertinence de l'organisation reste l'efficience, gage de la meilleure efficacité au meilleur coût.

Ce constat simpliste montre bien qu'il n'y a pas d'organisation idéale, mais bien une organisation efficiente compte tenu des ressources humaines, matérielles et financières mobilisables pour répondre à différentes missions de services.

Cette définition ne peut se faire sans décliner de façon formelle les objectifs que poursuit l’organisation. Ces objectifs généraux sont directement liés à la définition stratégique qui repose sur l’énoncé de la vision et des valeurs des dirigeants et de la mission (raison d’être) confiée à l’établissement ou le service.

La formalisation d’un projet d’établissement ou de service est donc indispensable pour permettre la mise en œuvre d’une organisation efficiente au sein de nos entreprises.

http://www.toutpourmanager.com/dossier-481-l-organisation-p[...]

 

Période d'essai : test de vos compétences mais pas de votre salaire

La période d’essai d’un salarié, engagé en qualité de technicien commercial, a été rompue au motif que le salarié avait refusé la baisse de sa rémunération. Le salarié saisit les juges car il considère que la rupture de sa période d’essai pour ce motif est abusive.

Le refus du salarié de voir sa rémunération diminuer peut-il justifier la rupture de la période d’essai ?

http://www.juritravail.com/archives-news/embauche/1106.html

 

Les 7 étapes clé pour réussir un projet

Un projet est la mise en actions rigoureuse de points clé. J'ai dénombré 7 facteurs clé de succès qui permettent de garantir le résultat escompté : je travaille le dossier de cadrage, je sélectionne les compétences à mettre en action, je définie les outils collaboratif à utiliser, je définis un plan d'actions, je pilote ce projet, je capitalise l'expérience et je valorise l'équipe.

http://www.toutpourmanager.com/dossier-449-les-7-etapes-cle-[...]

 

Licenciement économique : du motif économique aux départs volontaires

La crise est là. Avec son cortège de mauvaises nouvelles pour l’emploi des salariés. En amont, avant l’annonce fatidique du plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), les bonnes vieilles recettes sont mobilisées : arrêt de l’intérim, fin des contrats à durée déterminée, JRTT imposées combinées à un recours massif au chômage partiel, départs en formation dans le meilleur des cas…, sous le regard des directions départementales du travail. La rapidité et la sévérité des ajustements frappent.

Si les effets escomptés n’ont pas lieu, l’entreprise peut se voir contrainte de s’engager dans une nouvelle phase, celle des réductions d’effectifs, sous le regard cette fois conjoint de l’administration et surtout du juge.

Depuis le début des années  90, la chambre sociale de la Cour de cassation a  beaucoup œuvré en la matière du licenciement économique. Sous son impulsion, des questions ont été réglées : les contours du motif économique et son élasticité, l’obligation de reclassement et son périmètre, la procédure consultative et ses incidents éventuels. Le mode d’emploi est connu et les acteurs maîtrisent les règles. N’y aurait-il rien de nouveau sur cette thématique, si ce n’est son actualité brûlante ?

C’est un peu court. Les partenaires sociaux s’activent et négocient sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) et la convention de reclassement personnalisé (CRP). De son côté, la Cour de cassation n’est pas en reste. Affaire après affaire, elle lâche ses solutions. En ce moment, elle s’attache à préciser le champ d’application du PSE, au regard des conditions d’effectifs et du nombre de licenciements lorsque la société est étrangère ou bien lorsque l’entreprise fait partie d’une UES. Elle précise au fil des arrêts le régime de la rupture amiable pour motif économique. Et demain, lorsque les PSE se seront multipliés, ne devra-t-elle pas à nouveau sortir du bois ?

http://www.wk-rh.fr/actualites/upload/SSL1385_Dossier.pdf

 

Cinémas en ligne : face à face 

L’art du grand écran pourrait nous mener vers des sites web épurés, scénarisés, efficaces et de grande qualité esthétique. Il n’en est rien en ce qui concerne les sites web de nos principaux complexes cinématographiques. L’UGC vend ses films comme on vendrait des tickets de métro et le Kinepolis se disperse.

http://www.60questions.net/dossiers/cinemas.htm

 

Des présentations efficaces

Des trucs, astuces et nouvelles tendances pour réussir ses présentations Powerpoint. L’insertion d’images, les différents maques, le masque des pages de commentaires, la fonction album photos, 5 trucs pour améliorer vos présentations, …

http://presentationsefficaces.blogspot.com/2008/11/insertion-d[...]  

http://presentationsefficaces.blogspot.com/2008/12/les-differ[...]  

http://presentationsefficaces.blogspot.com/2009/01/masque-des[...]  

http://presentationsefficaces.blogspot.com/2008/12/fonction[...]

http://presentationsefficaces.blogspot.com/2008/10/truc-5-p[...]  

 

La méthodologie de résolution de problème TRIZ

TRIZ, acronyme russe d'une expression signifiant « Théorie de la résolution des problèmes inventifs », est une science expérimentale dont l'objectif est d'aider les inventeurs et plus généralement tous les ingénieurs à résoudre méthodiquement les problèmes technologiques.

TRIZ peut s'appliquer : à la recherche et au développement de nouvelles générations de produits, en proposant un ensemble de lois d'évolution ; à la résolution de problèmes difficiles, avec une méthodologie et des outils s'appuyant sur la résolution des conflits inhérents à tous systèmes techniques et à l'identification et au traitement des défaillances de tous produits industriels.

A partir de quatre concepts de base : la définition du « problème inventif », la mise en évidence de niveaux d'invention, l'identification de mécanismes d'invention et la définition de lois d'évolution.

G. ALTSHULLER et ses collègues ont développé un corpus de connaissances et introduit trois notions essentielles : l'idéalité, vers laquelle doivent tendre tous les systèmes technologiques, les contradictions qui caractérisent toute tentative d'amélioration des produits et l'approche systémique nécessaire pour faire évoluer un système en harmonie avec son environnement.

 Depuis plus d'un demi-siècle, les recherches basées sur TRIZ ont permis de mettre à disposition des ingénieurs des méthodologies structurées, récemment informatisées et une « boite à outils » susceptible de traiter une large gamme de problèmes.

http://erwan.neau.free.fr/Toolbox/Resolution_de_probleme_TRIZ.htm  

 

L'information des salariés renforcée en matière de santé et de sécurité au travail

Un décret du 17 décembre 2008 fixe les modalités concrètes d’information des travailleurs sur les risques pour leur santé et leur sécurité.

Le document unique doit dorénavant être rendu accessible à tous les salariés, peu important qu’ils encourent ou non un risque particulier ou qu’il existe des représentants du personnel compétents pour réclamer ce document. Ainsi, le document unique doit être « tenu à la disposition » : des travailleurs, des membres du CHSCT ou des instances qui en tiennent lieu, des délégués du personnel, du médecin du travail, des agents de l’inspection du travail, des agents des Cram et de l’OPPBTP, ainsi que des inspecteurs de la radioprotection et des agents de contrôle (C. santé publ., art. L. 1333-17 et L. 1333-18) en ce qui concerne les résultats des évaluations liées à l’exposition des travailleurs aux rayonnements ionisants pour les installations et activités dont ils ont respectivement la charge (C. trav., art. R. 4121-4).

http://www.wk-rh.fr/actualites/upload/DSQA13_sante_secu.pdf



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Par stephanegoze , le dimanche 15 février 2009.

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