Son sourire solaire, réchauffait son être,
Losqu'était alors venu, le temps d'un été,
Doucement, à l'ombre d'un arbre parapluie,
Où plus rien, n'avait d'importance qu'elle et lui.
Le souvenir douloureux de moments,
Où passant de baisers ardents
A une suave mélodie,
Il donnait un sens à sa vie...
Depuis plus rien n'a la même saveur,
Que sa voix au son chatoyant.
Et même respirer devient destructeur
le Soleil brille, brille toujours autant,
Mais ce sourire n'est plus présent;
Et la laisse seule sous l'azur brûlant...