Ne cherchez pas d'annonces dans la conférence de rentrée de JM Blanquer. Alors que traditionnellement, cette conférence dévoile des projets et des décisions, JM Blanquer n'avait pas grand chose à dire en ce domaine le 26 août et semble avoir déjà tourné la page. Devant les médias, il s'est livré à une campagne d'autopromotion, prenant parfois des libertés énormes avec la vérité. Un bel effort tout de suite contrarié par les reproches faits à la presse de trop écouter les syndicats. On ne se refait pas...
"Oui, il y aura évidemment un professeur devant chaque classe à la rentrée, sauf pour quelques rares exceptions sur lesquelles les services travaillent." Dans 20 Minutes, JM Blanquer peint la rentrée en rose. Alors que le président de la République tente à Marseille de récupérer une partie de l'électorat de gauche, le ministre de l'éducation nationale se présente en artisan de la réduction des inégalités sociales à l'école. Un exercice qui n'est possible qu'en prenant des arrangements avec les faits. En voici des exemples...
A quelques mois de l'élection présidentielle, JM Blanquer a commencé, dans Le Figaro du 18 juillet, à faire campagne sur son bilan. Il parle de "résultats du dédoublement en éducation prioritaire très encourageants" et annonce même "un rebond de l'école primaire". On aimerait bien lui donner raison. Mais les données mêmes de son ministère montrent une réalité bien différente.
Plus qu'un bilan des années Macron, "le grand décryptage" que vient de publier par l'Institut Montaigne annonce l'avenir de l'éducation nationale si l'équipe actuelle reste en place en 2022. On y lit la réforme de l'affectation des enseignants, le développement de leur évaluation, la fin du collège unique et une réforme profonde du lycée professionnel. Toutes idées qui perfusent du Grenelle de l'Education vers l'avenir...
Budget 2022 : Près de 500 postes d'enseignants supprimés dans le second degré
"Le projet de loi de finances 2022 consacre l'engagement du gouvernement en faveur de l'éducation", affirme le Conseil des ministres. Avec 55 milliards pour l'enseignement scolaire, le budget de la rue de Grenelle augmente de 1.6 milliard soit 3%. Sur cette somme seulement 400 millions sont à mettre au titre de la revalorisation des personnels, et non 700 millions comme le dit le ministère. Malgré la crise sanitaire et ses effets, seulement 50 emplois sont créés dans l'enseignement. Mais 470 emplois d'enseignants sont supprimés dans un second degré déjà bien sous tension.
La publication des "bleus budgétaires" permet d'avoir une vue plus précise et plus solide sur le budget de l'Education nationale. Celui de 2022 est marqué par une constante : la stabilité des emplois, trait caractéristique du ministère Blanquer. Et par une touche spéciale : c'est l'enseignement privé qui connait la plus forte croissance des dépenses en 2022.
La revalorisation 2022 étendue à 58% des enseignants
Finalement le ministre a choisi d'étendre la prime d'attractivité 2022 aux enseignants titulaires jusqu'au 9ème échelon, soit 58% des enseignants. C'est un net progrès par rapport à la revalorisation 2021 qui ne touchait que 31% des enseignants. Mais, comme l'enveloppe ne bouge pratiquement pas, s'il y a deux fois plus de bénéficiaires, le gain de chacun diminue d'autant...
Mal payés les professeurs français ? On le savait déjà et même le ministre de l'éducation nationale le reconnait. Mais ce que révèle la nouvelle édition de Regards sur l'éducation, une publication annuelle de l'OCDE, c'est à quel point l'éducation nationale sous paye ses professeurs comparativement aux autres pays de l'OCDE. Sur 33 systèmes éducatifs étudiés par l'OCDE, la France est au 22ème rang pour le coût salarial de ses enseignants. Aucun grand pays développé ne dépense aussi peu pour ses enseignants.
"En 2019... le salaire moyen des enseignants... a augmenté de 1,2 % en euros constants". Une nouvelle Note de la Depp met en avant une augmentation de salaire des enseignants, ceux-ci touchant en moyenne 2600 € nets par mois. Voilà deux affirmations qui méritent d'être décryptées et remises dans leur contexte.
E Macron lance à Marseille la transformation libérale de l'école
Bonne nouvelle, l'Ecole va bien se retrouver au centre du débat de la présidentielle. Mauvaise nouvelle : E Macron va faire campagne sur un programme ultra libéral pour l'école publique. Présentant le 2 septembre son plan pour le Grand Marseille, le président de la République a annoncé un statut dérogatoire spécial pour 50 écoles marseillaises dès la rentrée 2022. Dans ces écoles, les directeurs choisiront les enseignants et disposeront d'une large autonomie pour adapter les horaires, les rythmes scolaires avec la participation "d'acteurs extrascolaires". Cette "école du futur" reprend le vieux projet libéral d'une école privatisée. On pouvait penser que le gouvernement stopperait ses réformes d'ici les élections. Il fait le choix inverse, d'aller plus loin dans la libéralisation de l'Ecole. Et probablement d'inscrire cette contre révolution libérale dans le programme d'E Macron aux présidentielles.
40 écoles Rep+ de Marseille éligibles à l'expérimentation présentée le 2 septembre par Emmanuel Macron refusent d'y participer. Les écoles refusent le choix des enseignants par le directeur d'école, un système jugé inefficace et visant à "museler" les professeurs. Ils demandent des moyens suffisants pour toutes les écoles et refusent la logique de contractualisation avancée par E Macron. Une large intersyndicale locale (Se-Unsa, Snuipp Fsu, FO, Cgt, Sud, Cnt) dénonce "une mesure qui ne correspond pas aux revendications des personnels... vécue comme une provocation". L'intersyndicale s'oppose elle aussi à l'expérimentation Macron et exige des moyens pour les écoles.
Les débats devaient durer deux journées. Il aura suffi de l'après-midi du 29 septembre pour que la majorité adopte la loi Rilhac. Celle-ci fait entrer les directeurs d'école dans la chaine hiérarchique sans leur donner aucun moyen supplémentaire pour exercer leur mission. Le texte doit maintenant être voté par le Sénat pour entrer en application.
Examiné par la commission de l'éducation du Sénat le 13 octobre, le texte de la proposition Rilhac ressort avec de nouvelles modifications. Celles-ci affirment le rôle d'encadrement des directeurs d'école et clarifient des flous insérés volontairement par la majorité à l'Assemblée en ce qui concerne les décharges et l'aide administrative. Le texte doit maintenant passer en séance au Sénat. Ce sera le 20 octobre.
Si la question des directeurs d'école divise les syndicats enseignants, le premier syndicat des professeurs des écoles, le Snuipp Fsu, a bataillé contre la loi Rilhac. Après son adoption par l'Assemblée, quels consignes le syndicat va t-il donner ? Comment explique t-il la mobilisation insuffisante des enseignants qui avaient pourtant obtenu le retrait du projet Rilhac en 2019 et 2020 ? Guislaine David, co-secrétaire générale du Snuipp Fsu fait le point.
"Si la loi Rilhac a le mérite de remettre sur le devant de la scène la question du pilotage de l'école primaire, il est à craindre qu’elle ne modifie pas réellement le quotidien des directions d’école et leur pouvoir d’action... Même avec une autorité fonctionnelle, le directeur devra se débrouiller avec ce dont il dispose, c’est-à-dire pas grand-chose ". Alors que la loi Rilhac est discutée à l'Assemblée le 29 septembre, Cécile Rouaux, docteure en sciences de l'éducation (Cerlis université de Paris), publie « La direction d’école à l’heure du management. Une sociologie du pouvoir » (PUF). Forte de son expérience de professeure des écoles et de directrice, son travail de recherche donne un éclairage nouveau, tout autant scientifique que de terrain, de ce qu’est la réalité d’une école primaire et du rôle primordial des directeurs et directrices d’école. Un livre qui tombe à pic avec le vote à l’assemblée du projet de loi Rilhac.
Alors que la proposition de loi Rilhac est officiellement justifiée par la nécessité d'avoir un pilote pour animer l'école, alors qu'Emmanuel Macron affirme la nécessité pour les directeurs de choisir des enseignants qui croient dans le projet de l'école, la Depp publie une Note démontrant que le collectif existe dans les écoles et qu'il fonctionne à la satisfaction des professeurs des écoles et des directeurs d'école. Par contre, la même Note montre une nette insatisfaction des professeurs des écoles par rapport à leurs conditions d'exercice du métier. Les enseignants français sont ceux qui se plaignent le plus en Europe du manque de personnel et de moyens, problèmes toujours superbement ignorés par la loi Rilhac...
"La proposition de Loi Rilhac donne une impulsion positive pour obtenir les moyens d’assurer la fonction de directrice ou directeur au bénéfice de toute l‘école. Néanmoins, c’est dans les textes réglementaires à suivre et le budget que cette volonté peut se traduire concrètement.
Le gouvernement va supprimer l'Inspection générale
Le gouvernement juge t-il utile d'avoir une structure capable d'évaluer ses politiques ? On pouvait en douter après la suppression du Cnesco avec la loi Blanquer. Une nouvelle étape s'ouvre depuis l'envoi le 25 septembre au soir, d'un mail de la cheffe de l'inspection générale, que le Café pédagogique s'est procuré. Caroline Pascal annonce la suppression de l'Inspection générale en 2023. Le ministère de l'éducation nationale se prive d'un corps d'experts qui était capable de signaler les erreurs et les dysfonctionnement et de conseiller le ministre. Venue de l'Elysée, cette mesure reflète une nouvelle conception de la gestion de l'Etat par un pouvoir exécutif dont l'autorité doit s'exercer sans limite. Prévue pour 2023, cette réforme fait partie du nouvel Etat qu'Emmanuel Macron va proposer aux Français lors de l'élection présidentielle.
Comment comprendre l'annonce de la suppression de l'Inspection générale ? Historien de l'Ecole, Claude Lelièvre remet cette décision dans la longue histoire de l'Inspection et analyse ce qu'elle implique comme conception de l'Etat. Pour lui, cela renvoie au bonapartisme.
Samuel Paty : Au collège du Bois d'Aulne un an après
Libération et France Inter ont pu échanger avec 7 collègues de S Paty du collège du Bois d'Aulne à Conflans Sainte Honorine. Et leurs témoignages ne coïncident pas toujours avec ce que le rectorat de Versailles dit à la presse.
Le 15 octobre, les enseignants rendront hommage à leur collègue assassiné, Samuel Paty. Ils le feront avec leurs élèves. Et ce ne sera pas une journée facile. Certains envisagent de ne rien faire. D'autres de faire un cours sur la liberté d'expression. La plupart essaie de trouver la bonne formule avec leurs collègues. Ne nous y trompons pas. Derrière ces différentes postures c'est la même émotion. Nous avons demandé à deux professeurs d'histoire-géographie, Christine Guimonnet, secrétaire générale de l'APHG (l'association des professeurs d'histoire-géographie) et Johann Nallet, professeur au collège de Gémozac (17) de partager leur vision de ce moment si intense.
Education prioritaire : Classes dédoublées : Un bilan très décevant
Lancée en 2017, la politique de dédoublement des classes de CP et CE1 de l'éducation prioritaire est régulièrement mise en avant par JM Blanquer. C'est aussi la vitrine sociale du gouvernement qui y a consacré des moyens importants : près de 11 000 classes ont été créées depuis 2017. Le bilan que vient de publier la Depp montre pourtant peu de progrès dans les résultats. Si les élèves des classes dédoublées font de véritables progrès en CP et en CE1, ceux ci ne se détachent pas vraiment entre classes dédoublées et classes à composition identiques mais non dédoublées. L'écart entre l'éducation prioritaire et les écoles hors éducation prioritaire ne s'est pas réduit. Compte tenu de son coût, une autre politique éducative s'impose.
JM Blanquer l'avait promis. Il l'a fait. Six établissements catholiques sous contrat avec l'Etat bénéficient de la nouvelle éducation prioritaire a annoncé le 23 septembre le secrétaire général de l'enseignement catholique, Philippe Delorme. Cette avancée était attendue depuis la rentrée 2020 et elle ouvre un champ nouveau à l'enseignement catholique en même temps qu'elle renforce sa légitimité. L'enseignement catholique tient portant à marquer sa singularité en ce qui concerne la laïcité. Il ouvre d'autres chantiers : les aides sociales pour ses élèves, leur orientation dans Parcoursup par exemple.
"Le temps n’est en effet pas venu d’une appréciation portée sur les résultats des actions, tant dans le domaine scolaire que périscolaire", disent d'emblée F Scarbonchi (IGA), L Mayet et JM Panazol (IGESR) dans leur rapport sur les cités éducatives. Lancées en 2019 , les cités éducatives ont prospéré : 80 au départ, 126 aujourd'hui, bientot 200. L'idée c'est d'associer les acteurs pour traiter les questions scolaires et éducatives sur des territoires précis. A la tête de chaque cité une troika et un duo. La troika c'est le préfet, le recteur et le maire ou le représentant de l'EPCI. Sur le terrain le duo c'est un principal de collège, chef de file de la cité éducative, et un chef de projet opérationnel.
Présidentielles : JM Blanquer crée son club politique
Le ministre de l'éducation nationale a inauguré le 13 octobre son nouveau club politique appelé "le laboratoire de la République". Il publie son manifeste et quelques textes de JM Blanquer et de N Elimas. Le thème central semble être la dénonciation des mouvements anti racistes, du mouvement décolonial et de l'écriture inclusive. Le laboratoire de la République penche bien à droite.
"Je veux que les classes moyennes, les catégories populaires, les travailleurs précaires, les jeunes, les personnes handicapées retrouvent de l’espoir grâce à l’évolution en profondeur de l’école, de l’université, à la généralisation des formations en alternance. Je ferai de ces transformations une grande priorité de mon quinquennat". JM Blanquer a immédiatement réagi...
Dans Le Figaro, V Pécresse décline son programme pour l'Ecole si elle est élue à la présidence de la République. Pour les enseignants, il n'est pas question d'augmentation générale mais de donner "plus d'autonomie aux établissements " pour qu'ils puissent "mieux rémunérer les enseignants en valorisant l'ensemble de leurs missions éducatives".
Dans Le Monde, le candidat LR à la candidature à la présidentielle Michel Barnier met l'accent sur l'école. Pour lui le déclassement dans Pisa vient de la pédagogie.
Politique ministérielle : Blanquer ramène la formation des enseignants 10 ans en arrière
Rappelez-vous 2010-2013. Luc Chatel et son Dgesco, JM Blanquer, lancent la masterisation. Les étudiants reçus aux concours d'enseignement sont envoyés directement dans les classes, y compris en maternelle, en CP ou au collège. Et advienne que pourra ! Un projet d'arrêté présenté le 13 octobre en CTM, que le Café pédagogique s'est procuré, établit que JM Blanquer veut revenir à cette formule. Tous les syndicats ont voté contre. Mais la formule a des attraits...
"On a ces dernières années sous investi en éducation, formation, enseignement supérieur et la recherche", a déclaré le 12 octobre Emmanuel Macron lors de la présentation de son plan France 2030.
Dans un entretien donné aux Echos, JM Blanquer revient sur le lien école entreprises le jour même de l'ouverture de la première université école entreprise.
Métier enseignant : La crise du recrutement s'accélère
Dans les Pyrénées orientales, un département pourtant attractif, le nombre des démissions d'enseignants est multiplié par dix en deux ans. Le Snuipp local invoque une gestion désastreuse des personnels. Au delà de ces signaux inquiétants que sait-on de la crise du recrutement ?
L'éducation nationale semble ne réussir ni à protéger ses agents ni à s'en séparer en de bons termes. C'est ce qui résulte du rapport annuel de la médiatrice de l'Education nationale, Catherine Becchetti-Bizot. Dans un contexte de très forte progression des saisines des médiateurs de l'Education nationale, elle attire l'attention sur le déficit de gestion des cas de harcèlement et sur les réticences de cette administration à user de la rupture conventionnelle.
Cette année le dispositif Pass culture est étendu aux élèves de la 4ème à la terminale. Le Pass comprend une partie collective qui pourrait être mobilisée par les professeurs par exemple pour financer une sortie.
Lycée : Bac : Les textes sur le contrôle continu publiés
Un décret et un arrêté publiés au J.O. du 28 juillet entérinent ce que le Café pédagogique avait annoncé de la réforme du bac. Le ministre installe un "vrai" contrôle continu à hauteur de 40% de la note finale. L'évaluation sera contrôlée par le conseil pédagogique. Il rétablit les options. Tout cela aura plusieurs conséquences. Le caractère local du bac est renforcé. Le retour des options a un impact sur le nombre des spécialités offertes dans les établissements.
Quelle place doivent avoir les enseignements optionnels au lycée ? Le rapport des inspecteurs généraux Alain Brunn et Anne Gasnier va au fond des choses. Alors que la réforme du lycée a écrasé les enseignements optionnels pour récupérer des moyens, le rapport invite à un redéploiement à hauteur de 3 heures par division quitte à utiliser l'enseignement à distance. Il demande aussi une retour à la place ancienne des options en terminale alors que la réforme leur a donné un statut quasi obligatoire pour les seules maths. Il demande l'intégration des maths complémentaires dans l'enseignement scientifique c'est à dire dans le tronc commun. Le rapport a été partiellement entendu par le ministre qui a redonné de la valeur au bac aux enseignements optionnels. Mais leur redéploiement ne sera possible qu'aux dépens des moyens attribués aux spécialités. Ce qui continue à faire des options un élément du tri social.
Un décret publié le 22 août étend le bénéfice de la part modulable de l'ISOE aux professeurs référents créés récemment par JM Blanquer. Mais cette création est faite à coût constant comme l'explique le JO.
Covid : La rentrée se fera avec un protocole plutôt allégé
"C'est notre boussole de maintenir ouvert l'ensemble du système scolaire". JM Blanquer a présenté le 28 juillet le protocole sanitaire qui s'appliquera à la rentrée. Selon le niveau de l'épidémie 4 scénarios sont envisagés, le plus élevé correspondant à ce qui était en place au printemps 2021. Malgré le variant indien, beaucoup plus contagieux, l'Education nationale n'envisage qu'une mesure nouvelle : la mise en place dès la rentrée de centres de vaccination dans les établissements. Les chefs d'établissement devront gérer l'administratif. Le protocole va plutôt dans le sens de l'allègement des consignes, à contre courant de la 4ème vague.
Pas pressés d'attaquer les nouveaux problèmes. Face aux nouveautés de la rentrée, vaccination des élèves, harmonisation du controle continu, le Snpden Unsa, premier syndicat de personnels de direction, gagne du temps. Selon lui, les élèves "ne sont pas au rendez vous" de la vaccination dans les collège set les lycées. Quant à l'harmonisation de l'évaluation dans les lycées, rendue obligatoire par le ministère, "il nous faut du temps". La nouveauté de la rentrée c'est que , pour le Snpden, elle a été "ratée" dans plusieurs académies. En cause : les suppressions de postes qui mettent des établissements dans des situations pas possible.
Le Café pédagogique est un média associatif, imaginé et développé par des enseignants.
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