Et les jours me séparent de toi , mais me
rapprochent à la fois .
C'est comme si , on avançait , mais sans toi.
Et j'avance dans ces couloirs vides,
Lorsque mes yeux se font humides ,
Je t'y cherche mais , je ne t'y vois pas.
Et lorsque mon coeur se fatiguera ,
Quand mon visage sera trop terni ,
Ainsi que quand mes jambes ne me tiendront plus debout ,
Quand je n'en pourrai plus de , trop m'écorcher les genoux ,
Peu m'importe , où tu seras ,
Je serai à nouveau près de toi.