– La presse française proteste contre les pressions gouvernementales
« Il ne suffisait donc pas que la presse soit frappée par des crises économiques, comme Libération, L’Humanité ou France Soir. Ni qu’un ministre puisse obtenir la tête du directeur d’un hebdomadaire parce que sa vie privée a fait l’objet d’une « une » qui l’a irrité. Mais ce qui devient inacceptable, c’est l’acharnement du pouvoir à vouloir…
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