| | Quatre ans après la grande concertation lancée par Vincent Peillon, quel bilan ? | |
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| | L'articleRéunies à Paris les 2 et 3 mai, les Journées de la refondation de l'Ecole ont voulu faire le point sur ce qui était la priorité du quinquennat. Mais quatre ans après la grande concertation lancée par Vincent Peillon, quel bilan peut en être dressé ? | | | Compte de l'éducation : Quels efforts depuis 2012 ?Alors que la ministre va réunir début mai des "Assises de la refondation" qui tourneront, volens, nolens, au bilan de l'action gouvernementale, la publication du "Compte de l'éducation" apporte un éclairage officiel et assez détaillé sur son aspect financier. Si celui-ci est loin de suffire pour ce bilan, et s'il laisse bien des points dans l'ombre, il permet de tirer quelques enseignements sur les priorités de l'action gouvernementale. | |
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| | La Refondation vue du terrain | |
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| | L'articleComment la refondation est-elle perçue sur le terrain ? Impossible de le savoir aux Journées organisées par le ministère où les enseignants de terrain sont aussi rares que les vrais débats. Autant le demander là où la refondation aurait du porter ses effets en priorité, en suivant les « fils rouges » définis le 2 mai par N Vallaud-Belkacem : l’éducation prioritaire et le primaire. Nous avons sollicité trois grands témoins. Rachel Schneider , professeure des écoles et secrétaire départementale du Snuipp 93, Véronique Vinas , directrice d’une école maternelle dans le quartier populaire parisien de la Goutte d’Or et Rodrigo Arenas Munoz, président de la Fcpe 93. Trois témoins qui évoquent des espérances déçues, de l’ignorance du terrain et aussi des progrès. | |
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| | Alain Boissinot : Refondation : Oser réformer la gouvernance | |
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| | L'article"Ne serait-ce que pour ne pas décourager un corps enseignant qui se sent ballotté au fil des remises en cause et des réformes largement surjouées, il faut comprendre et assumer le passé, et se proposer des horizons moins immédiats que ceux des échéances électorales". Ancien directeur de cabinet de Luc Ferry, ancien recteur, ancien président du Conseil supérieur des programmes, Alain Boissinot a servi l'éducation nationale sous des majorités opposées. C'est que pour lui, la continuité devrait l'emporter sur la rupture en éducation. Et que le lieu du changement n'est peut-être plus l'échelon national... | |
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