| | 12 février : Ils ont défilé... | |
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| | SommaireLa journée de grève et manifestation des enseignants du primaire a été massivement suivie le 12 février à l'appel du Snuipp Fsu. La manifestation du Snuipp a entraîné avec elle les troupes clairsemées des autres syndicats (Cgt, FO, Sud, Faen) qui défilaient sur un autre mot d'ordre. L'incontestable succès de la journée du 12 février interroge le gouvernement sur le maintien du calendrier de la réforme des rythmes. | |
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| | | Rythmes scolaires : La circulaire d'application est publiée | |
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| | SommaireQuel rôle pour les IEN et les DASEN dans la mise en place des nouveaux rythmes scolaires ? Quel équilibre entre l'action éducative des collectivités locales et les souhaits des conseils d'écoles ? La circulaire d'application du décret sur les rythmes scolaires publiée au B.O. du 7 février répond à ces questions. Elle fixe des règles d'harmonisation territoriales. Le texte définit les activités pédagogiques complémentaires (APC). Il organise également le temps des travaux écrits. | |
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| | Sébastien Sihr : " Donnons-nous le temps de penser cette réforme qui bafouille" | |
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| | SommaireMardi 12 février, le Snuipp appelle, avec la Cgt, Sud et FO, à une journée de manifestation et de grève. Le syndicat annonce 60% de grévistes avec des montées à 80% à Paris et Lyon. Le ministère chiffre le mouvement à environ 30%. Pour le premier syndicat du primaire il s'agit de protester contre la réforme des rythmes scolaires. Pour les autres de lutter contre la loi d'orientation. Des revendications différentes mais un seul mouvement qui risque d'être porté au crédit des opposants à la refondation de l'Ecole et à la priorité donnée au primaire. Sébastien Sihr, secrétaire général du Snuipp, répond à cette critique. Alors qu'une majorité de Français sont favorables aux 4,5 jours de classe, il envisage aussi le risque d'un mouvement impopulaire. | |
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| | | Christian Chevalier : "Le temps des personnels est venu" | |
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| | SommaireAlors que plusieurs syndicats ont participé le 31 janvier à une journée d'action commune pour les salaires et la suppression de la journée de carence, le Se-Unsa, second syndicat du primaire, se tient à l'écart. C'est l'occasion de demander à son secrétaire général son sentiment sur ce moment particulier où la refondation commence à s'incarner. | |
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| | Rythmes : Peillon met ses cadres dans la balance | |
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| | SommaireDeux ministres, 1400 inspecteurs de l'éducation nationale (IEN), une centaine de directeurs académiques (Dasen) et de recteurs, tout l'enseignement primaire était réuni vendredi 8 février pour une grande messe hors du commun. George Pau Langevin a transmis sa conviction de la justesse de la réforme des rythmes. Vincent Peillon a bousculé son administration en tenant aux IEN un discours à l'opposé de ce qu'ils ont entendu ces dernières années et à quoi ils ont été formés. Dans l'éducation nationale ce n'est plus le management qui compte mais le pédagogique. Des propos qui reflètent aussi une certaine angoisse ministérielle devant les résistances. Jusqu'où son ministère sera-t-il capable de soutenir cette idée ? | |
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| | | Rythmes scolaires : Pourquoi Grenoble opte pour 2013... | |
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| | SommaireMembre du Réseau des villes éducatrices, la ville de Grenoble attend depuis plusieurs années de nouveaux rythmes scolaires. C'est donc en 2013 que les écoles grenobloises passeront à 9 demi journées nous assure Paul Bron, adjoint au maire de Grenoble chargé de l'éducation et de l'université. Mais le nouvel emploi du temps du périscolaire reste à décider. C'est que chaque formule a ses avantages et ses inconvénients. Et que le poids financier reste à définir. | |
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| | Rythmes scolaires : Pourquoi Blois attendra 2014... | |
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| | SommaireDéjà dotée d'un projet éducatif local, avec une municipalité de gauche, la ville de Blois optera très probablement pour l'attente. En novembre 2012, nous avions rencontré Yann Bourseguin, maire adjoint à l'éducation. Il attendait avec impatience les textes. Deux mois plus tard, après la publication du décret sur les rythmes, il oscille entre déception et irritation. Le doute s'est installé la faisabilité de la réforme des rythmes. Il soulève aussi la question des obligations légales pour les communes. Rien dans le décret ne semble obliger les villes à développer des activités périscolaires. Alors, à l'impossible nul n'est tenu ? | |
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| | | Rythmes scolaires : Qu'en pensent les directeurs des villes ? | |
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| | SommaireAu pied du mur. L'école est en passe de devenir le souci numéro un des cadres des municipalités. La publication du décret sur les rythmes scolaires met les villes devant l'obligation de mettre en place des activités périscolaires à un niveau qui ne s'était jamais vu. Ils ont peu de temps pour l'organiser et le concevoir. Ils en ont encore moins pour décider une application en 2013 ou en 2014. Voilà une bonne raison d'aller voir comment ces cadres qui font vivre les services municipaux d'éducation s'en sortent. Alors quand Arnaud Wauquier, vice président de l'Andev (Association des directeurs d'éducation des villes), m'a proposé de participer, le 30 janvier, à un séminaire régional, j'ai sauté sur l'occasion... | |
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| | Il n'y a plus de temps à perdre pour la refondation | |
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| | SommaireFaut-il attendre 2014 pour la réforme des rythmes ? A-t-on assez expliqué la révolution que représente l'introduction officielle des collectivités locales dans le système éducatif ? Faut-il prendre le temps de la consultation sur la réforme des programmes ? Toutes ces questions sont légitimes. Et on a forcément envie d'y répondre positivement. Pourtant le temps de la refondation est maintenant compté. | |
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