Comptabilité Gestion Finance
Maîtriser son besoin en fonds de roulement
Le besoin en fonds de roulement nait du décalage entre les sorties et rentrées d’argent. Ainsi, outre les stocks, il comptabilise essentiellement les créances accordées aux clients et les dettes dues aux fournisseurs. En effet, il est rare qu'une entreprise paye ses fournisseurs dès livraison des produits et, inversement, qu'elle reçoive paiement de ses clients aussitôt le bien ou service délivré. Généralement compris entre 30 et 90 jours, les délais de paiement obligent les entreprises à prévoir une trésorerie adéquate.
http://www.journaldunet.com/management/0704/ameliorer-bfr/1.shtml
Le bulletin de paie
Une explication interactive, au format flash, du bulletin de paie
http://www.bulletindepaieexplique.com/
et un simulateur en ligne.
http://www.europe.adp.com/files/site/k/i/kiosquepme.eu.adp.com/library/simulateurpaiev5e.cfm
Statistiques sectorielles INSEE
Très utile pour les projets CFE qui traitent de l’analyse financière, les statistiques sectorielles de l’INSEE permettent d’obtenir de nombreux ratios par secteur. L’INSEE propose une sélection de données de cadrage, ainsi que des données relatives au compte de résultat, au bilan, à des indicateurs de gestion et à des indicateurs de concentration et de dispersion dans un secteur d'activité donné.
http://www.alisse.insee.fr/SelectionFD.jsp?item=PSEC
Baisse de l’intérêt de retard en matière fiscale
Une instruction de février 2007 définit de nouvelles règles apportées au régime des pénalités fiscales. La mesure-phare est l’abaissement de l’intérêt de retard qui passe de 9% à 4,8% par an.
http://www.netpme.fr/actualite-entreprise/955-baisse-l-interet-retard-en-matiere-fiscale.html
Un gestionnaire de finances personnelles
GFP est un logiciel gratuit et francisé de gestion de vos finances personnelles. Développé sous Java, il nécessite la présence de cette machine virtuelle sur votre PC.
http://sourceforge.net/project/platformdownload.php?group_id=107070&sel_platform=36
Les principaux progiciels de gestion intégrés pour PME
Le champ fonctionnel d'un PGI couvre la quasi-totalité des domaines qu'une entreprise doit gérer : finances, achats, ventes, logistique, paie, ressources humaines, projets, relations avec les clients et les fournisseurs, service après-vente et, même, pour les plus complets, gestion du cycle de vie des produits. Ces solutions sont souvent désignées, par ceux qui les fournissent ou les utilisent, sous leur dénomination anglo-saxonne d'ERP (Enterprise Resources Planning, planification des ressources de l'entreprise). Cet acronyme illustre la capacité de l'application à prendre en compte l'ensemble des moyens dont dispose une entreprise.
http://solutionspme.lemondeinformatique.fr/panoramas/lire-les-principaux-progiciels-de-gestion-integres-pour-pme-avec-tableau-de-l-offre-21.html
Un projet d’IFRS pour les PME
L'International Accounting Standards Board (IASB) a publié, le 15 février 2007, pour appel à commentaires, un projet d'exposé sondage de norme internationale d'information financière (IFRS) pour les PME. L'objectif de la norme publiée par l'IASB est de fournir un jeu simplifié et autonome de principes comptables adaptés aux PME et basés sur l'actuel référentiel ("full IFRS") destiné prioritairement aux entités cotées. En supprimant certaines options de traitement comptable, en éliminant les thèmes qui ne concernent pas, en règle générale, les PME et en simplifiant les méthodes de comptabilisation et d'évaluation, le projet de norme PME réduit le volume des règles comptables qui leur sont applicables de plus de 85 % par rapport au "full IFRS". De ce fait, l'exposé sondage de l'IASB offre un ensemble de normes comptables autonome et pratique, permettant pour la première fois aux investisseurs d'évaluer la performance financière des PME au-delà de leurs frontières, sur une base comparable. La décision d'adoption ou non du référentiel pour les PME sera prise au niveau de chaque pays. Par exemple, l'Union européenne impose aux sociétés cotées d'appliquer les IAS/IFRS pour leurs comptes consolidés, mais chaque État membre pourra décider quels référentiels les PME doivent appliquer. Cependant, l'IASB propose que les entités cotées, même si elles sont de petite taille, ne puissent pas adopter le référentiel pour les PME.
http://www.focusifrs.com/2/3/694/article.asp
Les bonnes pratiques de la prévention pour pérenniser votre entreprise
Le nombre d’entreprises créées ou reprises a augmenté en 2005 conformément au plan prévu par les différentes mesures d’aides à la création et à la transmission issues notamment des lois Dutreil. Ainsi, 225 000 nouvelles entreprises ont vu le jour et créé des emplois, et l’on ne peut que s’en réjouir, d’autant que cette tendance se confirme en 2006. Mais la réalité économique nous oblige à prendre en compte un autre aspect concernant la pérennité des entreprises. Le nombre de défaillances, en hausse de 5% en 2005, devrait rester stable en 2006. Ce constat n’est pas satisfaisant, en effet un grand nombre de ces dépôts de bilan aurait pu être évité si quelques précautions de bon sens avaient été plus généralement utilisées. Ainsi, tout chef d’entreprise doit être capable d’identifier les principales difficultés conjoncturelles auxquelles il peut être amené à faire face afin de pouvoir mettre en place des démarches de prévention. De plus, il doit pouvoir appréhender le niveau réel de ses difficultés afin de s’orienter vers les solutions les plus adaptées. Facile à dire, plus complexe à mettre en pratique, sauf si le chef d’entreprise prend le temps de s’approprier et d’utiliser des outils simples et concrets.
http://www.experts-comptables.com/Documents/Prevention_rebond_sept2006.pdf (66 pages - 1,2 Mo)
Le crédit manager
Le crédit manager a pour fonction de maîtriser l’encours client c’est à dire le chiffre d’affaires de l’entreprise non réglé par ses clients et les commandes en cours. Il vise pour cela à identifier tout ce qui peut conduire à des retards ou à des contentieux et met en place des processus de qualité tout au long de la relation client.
http://www.afdcc.com/fr/credit_metier.php?id_menu=2&id_ss_menu=1
La PME de croissance
La loi de finances pour 2007, intègre la création d’un « statut de l’entreprise de croissance ». Ce statut permet de soutenir les PME qui réussissent et de permettre ainsi à celles qui grandissent de poursuivre leur croissance, afin qu’elles deviennent les « gazelles » championnes de notre économie. Le statut « gazelles » repose en particulier sur trois mesures phares :
- un mécanisme de gel de l’impôt sur les sociétés, permettant de neutraliser tout ou partie de l’augmentation de cet impôt pendant la période de croissance.
- un décalage du paiement des cotisations des salariés nouvellement embauchés, pour éviter que les nouvelles embauches ne pèsent sur la trésorerie de l’entreprise à un moment crucial.
- la possibilité de bénéficier du remboursement anticipé du crédit d’impôt recherche pour les entreprises bénéficiant de ce crédit d’impôt, afin de leur permettre de bénéficier immédiatement de la trésorerie nécessaire aux investissements dans l’innovation.
http://www.gazelles.pme.gouv.fr/StatutPMEdeCroissance.pdf (37 pages – 626 Ko)
Nouvelles modalités de déclaration et de paiement des cotisations URSSAF
La lettre circulaire n°2007-036 du 15 février 2007 fait le point sur l'obligation faite à certaines entreprises de payer les cotisations par virement et d'effectuer les déclarations sociales par voie électronique. Pour mémoire, à compter du 1er janvier 2007, les entreprises redevables de plus de 7 millions d’euros doivent obligatoirement payer leurs cotisations par virement (en application de l'article 40 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2007). Cette mesure est complétée par une obligation de dématérialiser les déclarations sociales effectuées auprès de l’Urssaf. Cette obligation s’apprécie en fonction du montant des cotisations, contributions et taxes dont l’entreprise est redevable annuellement.
http://revuefiduciaire.grouperf.com/article/3189/hb/rfiduchb3189_4803539.html
Maladie : la désorganisation de l'entreprise peut justifier le licenciement
Il est formellement interdit de licencier un salarié en raison de son état de santé. Un tel licenciement est discriminatoire et encourt la nullité. Il est en revanche possible de justifier le licenciement du salarié par le dysfonctionnement qu'entraînent, pour l'entreprise, son absence prolongée ou ses absences répétées et la nécessité de procéder au remplacement définitif du salarié. La jurisprudence a, au fil des années, posé une série de conditions qui encadrent aujourd'hui strictement ce type de licenciement.
http://revuefiduciaire.grouperf.com/article/3186/hb/rfiduchb3186_3852441.html
Baccalauréat 2007
Le sujet de la session 2007 de l’épreuve de Comptabilité et finance d’entreprise du baccalauréat au lycée Français de Pondichéry.
http://www2.ac-toulouse.fr/lyc-francais-pondichery/Bacpondy2007/CFEserieSTG.pdf (13 pages – 2,7 Mo)
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Par stephanegoze , le mardi 17 avril 2007.