| | Jean Duvillard : Ces gestes qui parlent | |
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| | SommaireLa pédagogie doit-elle ignorer les gestes professionnels ? Longtemps la formation professionnelle a méprisé ou ignoré la dimension physique du métier d'enseignant pour se limiter à une didactique disciplinaire ou à une approche sociologique. L'ouvrage de Jean Duvillard veut redonner toute sa place à cette dimension gestuelle du métier. Car on le sait tous sans y avoir réfléchi : il suffit d'une inflexion de la voix, d'un geste, d'une posture trouvés au bon moment pour gérer un conflit ou asseoir son autorité. | | | | |
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| | Philippe Meirieu : Autonomie des établissements : de quoi parle-t-on ? | |
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| | SommaireAvec les échéances électorales qui approchent, les positions sur l’école s’exacerbent, sans, pour autant, beaucoup se renouveler. On demande, ici ou là, la fin du collège unique et le développement de la formation en apprentissage ; on appelle à une décentralisation radicale et à un changement complet du statut des enseignants ; on affirme vouloir rétablir « les bonnes vieilles méthodes » ou bien remplacer les classes traditionnelles par un enseignement entièrement individualisé grâce au numérique ; on légifère dans l’abstrait, à tort et à travers, sur les méthodes de lecture et l’autorité des enseignants, l’enseignement des langues vivantes et les effectifs des classes. Certains candidats publient des ouvrages, d’autres font de solennelles déclarations. Tous disent qu’il est temps de donner la priorité à l’éducation. | | | Philippe Meirieu : Le partenariat : usine à gaz ou levier pour l’action ?J’ai la chance, depuis plusieurs années déjà, de collaborer avec les équipes du Diplôme universitaire « Adolescents difficiles ». Ce diplôme a été créé à l’initiative de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, avec le pédopsychiatre Philippe Jeammet, à Paris, en 2002 et, depuis, il s’est implanté dans plusieurs autres villes de province ainsi qu’aux Antilles. Le principe en est, tout à la fois, simple et original : il s’agit de faire travailler ensemble, pendant une année et en formation continue, des professionnels, tous aux prises avec des adolescents en grande difficulté, mais appartenant à des institutions différentes : Éducation nationale, Protection judiciaire de la jeunesse, médecine, travail social, police et gendarmerie, justice, etc. La formation est, évidemment pluridisciplinaire et comporte, tout à la fois, des apports spécifiques, des ateliers d’analyse de pratiques et l’accompagnement d’un mémoire professionnel... | |
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| | Pour le thinktank « Vers le haut », la crise de l'éducation c'est celle des éducateurs | |
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| | SommaireNouveau venu dans les thinktanks, Vers le haut est soutenu par un réseau religieux. C'est une émanation du Groupe Bayard, des Apprentis d'Auteuil, des Scouts musulmans , de l'Armée du Salut, de l'Ose et du collège des Bernardins. Cet oecuménisme religieux se traduit dans une approche particulière des questions d'éducation qui vise à sauver l'Ecole par des éducateurs mieux encadrés et un soupçon de psychologie positive. | |
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| | Rendez-vous : La constante macabre en colloque le 27 mai. Inscrivez-vous ! | |
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| | SommaireCombien de leviers pour soulever la constante macabre ? Ils seront nombreux le 27 mai à Paris pour appuyer la démarche entreprise par le Mouvement contre la constante macabre (MCLCM) et André Antibi et participer aux ateliers. | | | La classe inversée fait son "come back" début juillet Banalisée, modifiée, repensée, officialisée, la classe inversée s'ancre dans le paysage à l'occasion de son deuxième colloque qui devient du 1er au 3 juillet, le "1er congrès francophone sur la classe inversée". Organisé par l'association "Inversons la classe !", en partenariat avec le Café pédagogique (qui était déjà là en 2015), le Congrès voit grand et espère 800 participants. Vous avez jusqu'au 2 mai pour proposer une contribution. | | | Éducation prioritaire : Journée nationale de l'OZP le 28 maiLe 28 mai, l'Observatoire des zones prioritaires (OZP) fera le point sur "l'éducation prioritaire deux ans après la refondation". Deux grands témoins éclaireront la Journée : Béatrice Gille, rectrice de Créteil, et Anne Armand, inspectrice générale. | |
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