LE FAIT DU JOUR
Angleterre : les nouveaux programmes du primaire s’ouvrent à Twitter
ÉDITORIAL
Des policiers référents dans 204 établissements secondaires
LE SYSTEME
Universités : Le début de la fin ? l Carte scolaire du primaire : l’analyse du Se-Unsa l Les profs renâclent à la grève.
L’ÉLÈVE
Le printemps de la jupe l Parents et villes pour un autre rythme scolaire.
LA CLASSE
Les apprentis sur scène.
LA RECHERCHE
Que nous apprennent les enquêtes internationales ?
CITOYENNETE
Quand aura-t-on la peau de la peine de mort ? l La Shoah : un « détail » ?
LES DISCIPLINES
Travailler le langage en maternelle l E.D.D. : Dopez vos hormones avec les eaux minérales… l Faites connaître l’Allemagne avec Edit’Aide.
Le fait du jour
Angleterre : les nouveaux programmes du primaire s’ouvrent à Twitter
Les enfants d’Albion vont-ils directement sauter dans le 21ème siècle ? C’est le Guardian qui agite en ce moment l’Ecole anglaise en dévoilant, un mois avant sa publication, les nouveaux programmes du primaire. Selon le quotidien, les programmes seront regroupés autour de 6 thèmes d’apprentissage (learning areas) qui remplacent les 13 sujets d’enseignement précédents. Il s’agit de l’anglais, la communication et les langues, les maths, les sciences, l’environnement, la santé et le bien être.
Ce qui éveille l’attention c’est que ces programmes mettent l’accent sur des compétences nouvelles. Le nouveau curriculum affirme que les enfants doivent quitter l’école familiarisés avec les blogs, les podcasts, Wikipedia et Twitter comme sources d’information et outils de communication. Ils doivent savoir écrire aussi bien avec un clavier qu’à la main. Ils doivent dès le primaire être capables d’utiliser un correcteur orthographique dans un traitement de texte. On est loin de l’apprentissage traditionnel de l’orthographe… Pour l’auteur du programme, il s’agit d’atteindre dès le primaire le niveau de compétences TICE demandé actuellement dans le secondaire.
En Angleterre, où les TICE ont su déjà largement pénétrer les classes, le débat se porte plus sur la peur de l’abandon de pans entiers de l’histoire que sur l’apprentissage du clavier ou des blogs en classe. L’éducation à la santé et au bien être gagne aussi en importance avec par exemple un programme apprenant à se comporter face au harcèlement (bullying), la violence scolaire la plus répandue.
Un point particulièrement intéressant du programme est le lien effectué avec les pratiques sociales des élèves. Il s’agit d’apprendre à vivre en société en utilisant les outils de l’univers quotidien des élèves et non d’utiliser les tice pour perpétuer l’enseignement traditionnel. C’est sans doute sur ce terrain que la réforme aura des difficultés à s’imposer car on sait que la pénétration des TIce dans les classes anglaises ne s’est pas forcément accompagnée d’un changement des conceptions pédagogiques.
L’école française à la traîne ? Les enquêtes internationales comme Pisa, celles du ministère dressent un tableau contrasté des Tice dans l’école primaire. Si les écoles sont moins bien équipées que les établissements secondaires, les Tice y sont, d’après Pisa 2000, plus utilisées en classe. En 2000, 60% des élèves de 15 ans déclaraient ne jamais utiliser d’ordinateur en classe, contre un tiers des écoliers. Et on sait le rôle pionnier qu’ont pris de nombreux instituteurs dans l’intégration des Tice et d’Internet à l’école. Rappelons-nous Picquécos ou les sentiers du Vercors…
Inversion de tendance ? Le retard en équipement devrait être rattrapé. Xavier Darcos a annoncé un plan d’équipement des écoles rurales, généralement les moins bien outillées. Selon Educnet, « les 26 milliards consacrés au plan de relance vont financer partout en France des projets concrets… Parmi les 1 000 projets dévoilés : la possibilité, pour les petites collectivités qui le souhaiteront, d’être aidées à se doter d’écoles numériques interactives. Avec les 50 millions prévus dès cette année, ce sont 5 000 écoles rurales qui devraient bénéficier d’un équipement en classe mobile, TBI, ressources numériques, etc. » On devrait connaître très prochainement comment seront répartis les 50 millions entre les écoles. Il restera à penser l’articulation entre cet important effort d’équipement et de nouveaux programmes qui sentent bon la plume Sergent Major.
Le plan d’équipement des écoles rurales
Culture numérique et culture informatique
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Des policiers référents dans 204 établissements secondaires
Selon une circulaire transmise à l’AFP, 102 à 204 collèges et lycées victimes d’intrusions devront accueillir, pas forcément de façon constante, des policiers ou gendarmes référents. Ils devront également actualiser leur « diagnostic de sécurité » en veillant aux risques d’intrusions. Ce texte fait suite au discours prononcé à Gagny le 18 mars par le président de la République.
C’est déjà le troisième plan anti-violence scolaire lancé par Xavier Darcos. En janvier 2008, il disait : « Je ne saurais accepter la multiplication des entorses à la tranquillité nécessaire à l’apprentissage. Je ne saurais accepter la banalisation des faits de violence ». En 2002, ministre délégué de Luc Ferry, il avait lancé un autre plan contre la violence scolaire. « L’objectif est de faire baisser la violence de moitié en cinq ans » promettait-il. Sept ans plus tard, la situation ne semble pas avoir beaucoup progressé…
Fausses pistes. C’est que les réponses apportées par la circulaire, si elles semblent « de bon sens », tombent à côté de la plaque. D’abord parce que la plupart des établissements secondaires ont appris depuis longtemps à travailler avec la police. Ensuite parce que les régions, les départements ont très souvent investi dans des clôtures et des dispositifs de sécurité. C »est notamment le cas du lycée de Gagny qui dispose d’un système sécurisé d’ouverture des portes et de caméras vidéo. Tout cela n’a pas empêché l’entrée très rapide d’un petit commando dans le flot des entrées – sorties des centaines d’élèves. Combien de policiers faudrait-il poster en permanence dans un lycée de 1500 élèves pour filtrer une à une les entrées ?
Pourtant des solutions existent. Eric Debarbieux, qui mène en ce moment avec la mairie de Paris une expérience originale, estime qu’il y a des facteurs propres aux établissements dans leur organisation matérielle. La baisse du nombre de surveillants, des recoins mal contrôlés sont par exemple des facteurs de violence. Il y a surtout des causes à chercher au cœur même du fonctionnement de nos établissements. C’est la solitude des enseignants et l’anonymat des élèves qui favorisent le harcèlement qui reste de très loin la plus importante violence scolaire. C’est la qualité des relations avec l’environnement de l’établissement qui est aussi en jeu. Enfin la violence scolaire explose à la rencontre entre l’état de notre école et celle de notre société. Envisagerait-on un mur autour des quartiers sensibles ?
L’émotion ne règle pas le problème
Universités : Le début de la fin ?
Les syndicats ont négocié avec les ministres du 24 au 25 mars le projet de décret sur le statut des enseignants chercheurs. A l’issue de la négociation, Autonome Sup a voté en faveur du texte gouvernemental alors que le Snesup avait quitté la salle. L’autonome juge le décret « acceptable » et se déclare satisfaite de la décision sur la formation des maîtres.
Car c’est la question de l’avenir des IUFM qui est aujourd’hui la vraie pierre d’achoppement et cela tient d’abord à l’imbroglio créé par le report de la réforme des concours sans report de la formation aux concours. L’IUFM de Saint-Lô présente bien les difficultés en donnant à voir quelques cas précis. « Je suis en Licence de maths et je veux devenir prof d’école. Dans quel master dois-je m’inscrire l’an prochain sachant que dans mon université il n’y a pas de master « enseignement » et que je n’ai aucune chance d’avoir mon master de math si je me consacre à la préparation du concours? Je suis actuellement en PE1. Si j’échoue, l’an prochain, je peux repasser le même concours, ma première année d’IUFM vaut-elle pour un M1 ? Si non, dans quel M1 dois-je m’inscrire ? Pourquoi ne pas laisser les mêmes conditions que cette année, c’est-à-dire être titulaire d’une licence ? Pourquoi ne puis-je pas redoubler à l’IUFM ? J’ai passé le CAPES deux fois, j’ai été admissible une fois, je suis AE, j’ai besoin de travailler pour continuer mes études, je n’ai pas de M1, j’habite loin d’une ville universitaire, puis-je repasser le concours en candidat libre ? Je suis en M1, si j’échoue au concours cette année, je m’inscrirais en M2 et je pourrais le repasser l’an prochain, mais après… deviendrais-je directement fonctionnaire stagiaire ou devrais-je finir mon M2 si je ne l’obtiens pas l’an prochain ? Je suis en licence, si j’ai le concours l’an prochain, je ne serai pas fonctionnaire stagiaire et serait obligé de passer un M2 tout en étant aide-éducateur et en faisant un stage payé 3000 euros. Ne vaudrait-il mieux pas que je sois en formation IUFM avec une vraie formation professionnelle ? » Etc.
Cela tient aussi à l’opposition des conceptions sur ce que doit être la formation des maîtres entre partisans d’une formation disciplinaire et de la professionnalisation. De nombreux IUFM ont commencé à prendre des inscriptions pour l’année prochaine. C’est le cas en Limousin, Basse-Normandie, Nice, Aquitaine où déjà près d’un millier d’étudiants seraient inscrits. La Conférence des présidents d’université pourrait décider l’inscription des étudiants se destinant à l’enseignement en master dans les IUFM. En attendant la Coordination nationale des universités appelle à une journée d’actions le 2 avril.
Carte scolaire du primaire : l’analyse du Se-Unsa
Après la publication par la Dgesco d’une brochure expliquant la confection de la carte scolaire, nous avons demandé à plusieurs organisations syndicales leur avis sur ce texte. Le Se-Unsa est le premier à nous répondre.
« Ce qui est contestable », note Stéphanie Valmaggia-Desmaison, secrétaire nationale, « c’est qu’on reste sur des critères et indicateurs remontant à une concertation de 2000 et que les choses ont considérablement évolué depuis… De plus, il n’y a plus de débat réel et d’analyse de ces données dans les instances ad hoc puisque cela se résume à une présentation sommaire accompagnée d’un débit de chiffres qui ne sont jamais mis en perspective ».
Le Se-Unsa remarque aussi que « la maternelle continue de faire les frais d’une politique de restrictions budgétaires acharnée. Il est clair que la non obligation scolaire en maternelle est un pont d’or pour le Ministère ». L’analyse fine des remplacements montre que les moyens de remplacement sont présentés en hausse en terme de créations d’emplois mais on constate qu’ils demeurent insuffisants… Même si des créations d’emplois apparaissent concernant les remplaçants pour la formation continue, ce qu’on constate sur le terrain est tout autre. Faute de moyens suffisants en moyens de remplacement pour congés maladie, maternité … on récupère ces moyens qui du coup font défaut à la formation continue. On ne compte plus le nombre de stages annulés à cause de cela dans de multiples départements ».
Les profs renâclent à la grève
Seuls 5% des enseignants souhaitent partir seuls en grève pour la défense de l’école. C’est un des enseignements d’un sondage mené par le Se-Unsa (11 640 réponses). Quant à la question de la grève, 60% des enseignants préfèrent des manifestations sans grève, c’est le mode d’action préféré. 31% une grève d’une journée, 36% des grèves planifiées.
Le printemps de la jupe
Avant d’être un film, « Le jour de la jupe » était une action éducative de terrain créée à Rennes il y a 4 ans. Devenue « Le printemps de la jupe », l’opération continue de plus belle. Elle mobilise tout au long du mois de mars 350 jeunes lycéens, collégiens, apprentis qui réalisent des spectacles, des vidéos sur le thème de la parité pour les présenter à leurs camarades. Quatre collèges, treize lycées, une EREA d’Ille-et-Vilaine participent au projet.
Thomas Guiheneuc, qui anime le dispositif, prépare justement la rencontre entre l’EREA, une classe de garçons de lycée professionnel et une classe de filles. Il répond aux questions du Café.
Le succès du « Jour de la jupe » a eu quel effet sur votre projet ?
Le réalisateur, Jean-Paul Lilienfeld, souhaitait que les deux événements aient lieu au même moment. Le film a été diffusé durant le « printemps ». C’est chose faite. Pour nous c’est plutôt un appui que ce soit auprès des établissements scolaires ou des financeurs potentiels. Ca nous ouvre des portes.
Vous êtes dans une région où il n’y a pas eu d’affaire médiatique concernant la parité. Comment expliquez vous le succès auprès des jeunes de votre projet ?
En fait, partout on a des dérapages. Dans chaque groupe que nous réunissons il y a toujours au moins un élève qui a été directement concerné par la question des stéréotypes et des jugements sexistes. Par exemple récemment, c’est un élève qui vient me confier que circule une vidéo d’une relation sexuelle qu’il a eue avec un couple.
Ce qui est nouveau cette année, c’est peut-être que les jeunes se sentent plus concernés. Les projets circulent mieux entre les groupes. Et de nombreux garçons refusent les caricatures sexistes et réagissent spontanément. On n’est plus dans la dénonciation mais dans la volonté d’action.
Parents et villes pour un autre rythme scolaire
Un autre aménagement des rythmes de l’enfant est possible, telle est la conclusion de la journée organisée par la F.C.P.E., La Jeunesse au Plein Air (La JPA) et le Réseau Français des Villes Éducatrices (RFVE), le mercredi 18 mars, à Paris. Plus de 200 personnes représentant la communauté éducative étaient réunies pour débattre de l’aménagement des rythmes de l’enfant. L’ensemble des participants a convenu qu’il était nécessaire que la communauté éducative s’empare de ce débat dans les conseils d’école qui auront lieu au troisième trimestre de l’année scolaire 2008/2009, afin que le temps de l’enfant soit pris en compte.
Les débats ont remis en cause la semaine de 4 jours « secs » imposée au détriment des élèves et surtout de ceux les plus en difficulté, face à d’autres aménagements (notamment sur quatre jours et demi au vu des textes officiels) qui, en prenant mieux en compte l’intérêt de l’enfant et ses rythmes, favorisent sa réussite.
Vingt organisations pour des Assises nationales pour l’éducation
La classe
Les apprentis sur scène
Du 26 mars au 4 avril, les ApprentiScènes remontent sur scène à Paris pour la 3ème fois. Unique en France, le projet ApprentiScènes est conçu pour valoriser l’apprentissage auprès des jeunes – apprentis ou futurs apprentis – et de leurs familles. Sa grande originalité est de miser sur la créativité des 650 jeunes participants : ils sont amenés à montrer, dans un domaine où on ne les attend pas, leur détermination et leur esprit d’équipe, mais aussi tout l’éventail de leurs talents. Le dispositif est soutenu par le Conseil régional d’Ile-de-France.
La recherche
Que nous apprennent les enquêtes internationales ?
Quelques jours après la tenue du colloque « Un seul monde, une seule école », la publication du n°164 de la Revue française de pédagogie nous ramène aux acquis des enquêtes internationales comme Pisa. Coordonné par Nathalie Mons, ce numéro est particulièrement intéressant par les questionnements envoyés à ces enquêtes. C’est une opération critique et de « décentration » que permettent ces enquêtes. Elles permettent ainsi d’évaluer les politiques éducatives , de revenir à la question de la justice à l’école.
Ainsi Pisa permet à Andy Green de chercher les points communs aux systèmes éducatifs inégalitaires. Les pays les plus égalitaires ont des établissements non sélectifs, des classes hétérogènes, une spécialisation tardive.. A. Green en tire une conclusion qui va à cntre-courant : il faut limiter les choix en éducation, l’offre uniforme est la plus égalitaire.
C’est aussi l’agrégation sociale qu’étudient C Monseur et M Crahay. Ils étudient « l’effet école » et leurs constatations font mal. « Le poids de l’origine sociale des élèves sur leurs performances académiques doit être affirmé… Cependant l’influence des caractéristiques des écoles et plus particulièrement de leur composition sociale et académique est très importante ». Il y a un fort lien entre école de milieu défavorisé et bas résultats scolaires. Du coup, pour eux, « le doute n’est plus permis ». « Pour réduire l’ampleur des inégalités de réussite à l’école, et pour accroitre la rentabilité générale des systèmes éducatifs, il faut endiguer les phénomènes d’agrégation… En favorisant (l’hétérogénéité) au niveau des écoles et des classes, il est possible de lutter contre les inégalités de réussite scolaire ». Or justement la France fait plutôt le contraire : elle a le plus fort taux d’écoles défavorisées. Les enquêtes internationales interpellent directement nos dirigeants.
Citoyenneté
Quand aura-t-on la peau de la peine de mort ?
En 2008, 2 390 personnes ont été exécutées dans le monde, annonce Amnesty international. Un nombre élevé mais qui est le plus bas depuis 1995. 1 718 personnes ont été tuées en Chine. 346 ont été pendues ou lapidées en Iran. 102 personnes ont été décapitées en Arabie saoudite. 37 personnes ont été exécutées aux Etats-Unis (dont 18 pour le seul Texas). Au total, 59 pays n’ont pas aboli la peine mort mais seuls 25 (sur environ 200 pays) l’ont utilisé en 2008. Deux nouveaux états ont rejoint le club des abolitionnistes : l’Ouzbékistan et l’Argentine.
La Shoah : un « détail » ?
En 2009, les électeurs antisémites français sont convoités. Après l’annonce d’une liste « antisioniste » aux élections européennes, Le Pen qualifie à nouveau de « détail » la Shoah devant le Parlement européen.
Les disciplines
Travailler le langage en maternelle
Résultat du travail d’enseignants de la circonscription de Soissons, le site LEM (Langage en maternelle) propose de nombreux outils pour développer l’apprentissage du lexique et de la syntaxe en maternelle. On y trouve par exemple les SALCO (Situations pour l’Acquisition des Compétences en Langage Oral), on y apprend à créer et utiliser des Albums-Echos (Cela consiste à faire parler l’élève sur une situation vécue par lui ou ses camarades, puis de renvoyer ses propos « en écho » avec un degré de complexité supérieur pour qu’il puisse s’en emparer); des Oralbums (ce sont des albums de l’oral écrits en syntaxe adaptée, répondant à des objectifs syntaxiques et lexicaux d’acquisition du langage). Une mine !
E.D.D. : Dopez vos hormones avec les eaux minérales…
On savait que les bouteilles d’eau minérale étaient désastreuses sur le plan écologique par le gaspillage d’énergie utilisé pour leur embouteillage. Des chercheurs de l’université Goethe de Francfort ont découvert un risque sérieux pour la santé. Ils ont analysé 20 eaux minérales du marché et découvert que 12 d’entre elles contenaient des hormones dans des quantités élevées, comparables aux eaux usées des stations d’épuration ! Ces hormones proviennent de l’emballage plastique de l’eau minérale.
Faites connaître l’Allemagne avec Edit’Aide
L’Office franco-allemand de la juenesse (OFAJ) lance un nouveau projet : Edit’Aide. Il s’agit d’aider des projets liés à l’édition (ouvrages, journaux, etc.) ; à l’audio-visuel (vidéos, photos, etc.) ; au multimédia (cédérom, sites internet, etc.). Ces projets devront être le fruit d’une coopération franco-allemande ou être le résultat d’un travail d’un Français (ou d’un groupe) en Allemagne ou d’un Allemand (ou d’un groupe) en France et avoir un contenu franco-allemand ou présenter une approche intéressante de l’autre pays (France ou Allemagne), de sa langue ou de sa culture.
En 2010, l’OFAJ mettra en place un nouveau projet lié au théâtre dans le cadre du Festival « Starke Stücke » en étroite coopération avec la Maison du Théâtre de Francfort-sur-le-Main.
le Cafe
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