Le Contrat de service public de la Banque de France
La Banque de France a signé son premier Contrat de service public (CSP) en juin 2003 dans le contexte de la préparation d’une réforme de son implantation territoriale, fondée sur un ancrage départemental du réseau de ses succursales. Cette évolution répondait à plusieurs défis : générer des gains de productivité afin de rendre un service public de qualité à meilleur coût ; tirer les conséquences de la dématérialisation de certaines activités et de l’automatisation de certaines tâches et créer des pôles de compétence de dimension plus importante afin de pouvoir assumer les travaux à plus haute valeur ajoutée dans de meilleures conditions.
Initialement conclu pour une durée de trois ans, le premier CSP a été renouvelé pour la période 2007-2009 dans des termes assez proches de sa version initiale.
Le CSP permet à la Banque de France d’inscrire ses actions dans le cadre de la Loi d’orientation pour l’aménagement et le développement du territoire, dès lors que celles-ci interviennent en dehors des missions liées à sa participation au Système européen de banques centrales (SEBC). Le CSP s’inscrit également dans le cadre des dispositions du Code monétaire et financier, qui fixent le statut de la Banque de France et déterminent les missions qui lui sont imparties, et prend en considération les contraintes particulières qui s’appliquent à ses ressources et aux revenus tirés de ses activités.
http://www.banque-france.fr/fr/publications/telechar/bulletin/etu178_6.pdf
Déontologie des fonctionnaires : des obligations en
évolution
« Née de la décentralisation, la fonction publique territoriale doit penser globalement son identité, ses missions et sa déontologie propre. Morcelée en une multitude de cadres d’emplois, organisée par métiers, de manière fortement cloisonnée, elle donne lieu à la production de codes ou de chartes selon une logique de corps professionnels et non de service public », affirment Vincent Potier et Vincent Péguy dans « La Déontologie dans la fonction publique territoriale » (2002, Le Moniteur).
Au risque de s’exposer à une sanction disciplinaire ou pénale, les agents des collectivités sont donc soumis à différentes règles qui peuvent être regroupées sous les catégories suivantes.
http://infos.lagazettedescommunes.com/1723/lessentiel-deontologie-des-fonctionnaires
Jean-Philippe Zappa, Culture Papier
En juin 2009, naissait l’association Culture Papier, sous l’impulsion de l’Union nationale de l’imprimerie et de la communication. Regroupant les principaux acteurs de la filière papier, dont La Poste, Mediapost et l’AACC, Culture Papier a été lancée officiellement le 5 janvier dernier. Son principal objectif est de réhabiliter l’imprimé auprès du grand public, des pouvoirs publics et des professionnels de la communication. Jean-Philippe Zappa, le coordinateur du projet, nous présente ses missions et son fonctionnement.
http://www.e-marketing.fr/Videos/Jean-Philippe-Zappa-Culture-Papier-455.htm
La motivation, une construction progressive
De multiples phases scandent la construction des motivations : déclenchement des conduites, régulation à court terme, concrétisation des buts et des intentions. Pour chacune de ces étapes, des théories spécifiques de moyenne portée permettent d’analyser fructueusement le comportement motivé des individus.
http://www.scienceshumaines.com/-0ala-motivation–une-construction-progressive
L’entreprise s’adapte aux nouvelles règles
Les entreprises semblent plutôt bien s’accommoder de la réforme de la représentativité syndicale. Les zones d’ombre de la loi du 20 août 2008, sources d’insécurité juridique, se réduisent progressivement. Mais la résistance s’organise du côté des syndicats qui ont perdu leur représentativité ou qui risquent de la perdre.
http://www.wk-rh.fr/actualites/upload/E&Ca988_repres_syndic.pdf
Contrat Unique d’Insertion
Créé par la loi n°2008-1249 du 1er décembre 2008 généralisant le revenu minimum de solidarité active et réformant les politiques d’insertion, le contrat unique d’insertion (CUI) est entré en vigueur au 1er janvier 2010 (dans les départements d’Outre-Mer entrée en vigueur prévue le 1er janvier 2011).
Le contrat unique d’insertion a pour objet de faciliter l’insertion professionnelle des personnes sans emploi rencontrant des difficultés sociales et professionnelles d’accès à l’emploi.
Le contrat unique d’insertion – contrat initiative emploi (CUI-CIE) s’adresse aux employeurs du secteur marchand.
http://www.urssaf.fr/profil/employeurs/chef_dentreprise,_activite_generale/vos_salaries
Propriété industrielle : chiffres clés 2009
Les PME déposent de plus en plus de brevets. Durant les derniers mois de 2008, l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) avait constaté un brutal ralentissement dans les demandes de titres de propriété industrielle : brevets, marques, dessins et modèles. En 2009, malgré la conjoncture tendue, la tendance s’avère beaucoup plus contrastée. Si les demandes de brevets sont globalement en baisse (-3,6 %), l’INPI note une nette augmentation des demandes par les PME : +6,8 %. S’agissant des marques, l’augmentation est importante : +9,7 % de dépôts.
http://www.inpi.fr/fr/presse/espace-presse/communiques-de-presse/detail
Raja replace l’humain au cœur de sa logistique
Après neuf ans de fonctionnement sur le principe de ligne mécanisée, le service logistique de Raja a décidé, cet été, de mettre en place une nouvelle organisation, centrée sur l’humain. L’objectif étant d’améliorer la qualité d’emballage des quelque 3 500 colis préparés chaque jour. Jean-Michel Dubois, directeur logistique de Raja, entend ainsi s’adapter aux exigences de ses clients. Il nous explique ces changements.
http://www.e-marketing.fr/Videos/Raja-replace-l-humain-au-coeur-de-sa-logistique
YouTube, cinq ans de notoriété, toujours en quête
de rentabilité
15 février 2005, à San Francisco : trois anciens ingénieurs de Paypal déposent, dans la plus grande indifférence, le nom de domaine « YouTube ». Chad Hurley, Steve Chen et Jawed Karim, à l’époque âgés de 27 à 29 ans, souhaitent développer un site pour partager plus facilement leurs vidéos. Avec quelques innovations. « Notre projet était alors inspiré de Hotornot.com, un site de rencontres qui encourageait les internautes à noter eux-mêmes, sur une échelle de 1 à 10, l’intérêt des profils postés sur le site », raconte Chad Hurley, actuel PDG de YouTube. L’idée de la notation par les utilisateurs est retenue. L’autre originalité de cette nouvelle plateforme est que son contenu ne sera pas fourni par ses créateurs mais par ses utilisateurs. Les fondateurs prennent par ailleurs une décision qui sera décisive pour le développement de YouTube : celle de ne pas imposer de spots de pub aux internautes avant le visionnage des vidéos, pour éviter de les faire fuir. Gratuit, participatif, sans publicité imposée : les principes fondateurs de YouTube sont posés.
Au lancement du projet, les pères du site pensent que les internautes posteront des vidéos sur cette plateforme principalement dans le but de mettre en valeur leurs enchères en ligne. Avant de s’apercevoir très vite que les utilisateurs postaient de plus en plus de vidéos variées, notamment des petits films amateurs. La première vidéo postée sur YouTube, le 23 avril 2005, est d’ailleurs le film de la visite d’un des fondateurs au zoo de San Diego.
http://www.lesechos.fr/info/hightec/300411122.htm
Les administrés sont globalement satisfaits des
améliorations de la qualité des services publics
apportées ces dernières années
Quelque 50 services publics ont été labellisés en 2008. Parmi eux : une quinzaine de préfectures et sous-préfectures, des tribunaux, des inspections académiques, etc. Ces services ont d’abord déployé les engagements Qualité du référentiel et ensuite fait l’objet d’un contrôle par l’un des 8 organismes certificateurs habilités. Le label qui leur a été accordé est valable 3 ans et fait l’objet d’une visite de suivi au bout de 18 mois.
Les efforts accomplis pour se hisser à la hauteur des engagements Marianne sont récompensés par le saut qualitatif observé dans la qualité du service rendu : plus de 85% des appels téléphoniques sont décrochés en moins de 5 sonneries ; dans 85% des cas, une réponse aux courriels est apportée en moins de 5 jours (à comparer aux autres services pour lesquels dans 2 cas sur 10, les appels téléphoniques n’aboutissent pas et dans 8 cas sur 10, les courriels restent sans réponse) ; en moyenne, le taux de satisfaction global de l’accueil, mesuré auprès des usagers, est supérieur à 80%.
http://www.budget.gouv.fr/presse/dossiers_de_presse/100303cornut-gentille.pdf