Avec les suppressions de postes, « le gouvernement fait des choix à rebours des défis fondamentaux posés à notre École : réussir la démocratisation de l’école, accroitre le niveau général de formation, les arbitrages budgétaires et, son corollaire, la répartition académique passent à côté du sujet », écrit le Se Unsa. « Le gouvernement fait le choix de supprimer 1 117 emplois dans le premier degré à la rentrée. Il compte sur une augmentation des stagiaires issus de masters MEEF qui enseigneront à temps plein pour compenser une partie de ces suppressions d’emplois. Ainsi, par un nouveau tour de passe-passe, il préfère communiquer sur une suppression 667 moyens d’enseignement ». Pour le Se Unsa, le gouvernement devrait « profiter de la baisse démographique pour répondre aux besoins des élèves et du service public d’éducation : besoins de postes de Rased, besoins de remplacement pour les absences ordinaires, mais aussi la formation initiale et continue, besoin de poursuivre l’amélioration du régime de décharge des directeurs d’école, besoin de soutenir une politique volontariste de structuration de l’offre éducative en milieu rural. »
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