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Treize lycéens ont été mis en garde à vue le 2 juillet dans l’enquête sur les fraudes au bac. Il s’agirait d’élèves de lycées de l’ouest parisien, de Neuilly et Marseille. Ces arrestations confirment donc que l’extension de la fraude est plus vaste que ce que le ministère avait annoncé pour ne pas faire repasser les épreuves de maths. On sait, depuis le témoignage public de l’administrateur de TI Planet, que des milliers de corrigés ont circulé probablement après avoir été vendus entre jeunes favorisés. On sait aussi que cela ne concerne pas que les maths de ES L mais aussi les maths de S et au moins également la physique chimie. Les fraudeurs retrouvés parla police ont déjà mis en place leur défense. Les fichiers seraient arrivés par hasard sans qu’ils sachent que c’était de la fraude dans leur boite mail. En ne refaisant pas faire l’épreuve le ministère a pris le risque de ne jamais sanctionner les milliers de fraudeurs des beaux quartiers.

Sur 20 minutes

Une fraude plus massive qu’annoncé