Pas content, le SNPDEN, premier syndicat de personnels de direction. Il » regrette cependant les modalités de communication qui ont été retenues par le ministère à cette occasion. Une fois de plus, c’est par les médias que nos collègues ont été informés de cette décision (les recteurs et les DSDEN aussi semble-t-il) alors que le communiqué officiel ne leur est parvenu que bien plus tard dans l’après-midi. Une règle d’or devrait pourtant s’imposer à notre administration : « les cadres d’abord, l’opinion publique ensuite ! ».
De son coté, le Snes s’inquiète pour la correction du brevet. Il » demande que la correction sur site soit optimisée afin qu’elle ne dure qu’une journée, et que les collègues ayant pris des dispositions et n’étant plus disponibles ne soient pas pénalisés ; de même, les familles doivent voir facilité le repli éventuel sur la session de septembre ». Le syndicat rappelle que « la canicule touche aussi les oraux du baccalauréat et des concours. Le SNES-FSU demande que des mesures soient prises concernant les locaux pour prendre en compte les conditions de travail des personnels et des candidats, sans changer le calendrier ».
Le Snalc » demande que les décisions de fermeture d’écoles et d’établissements soient assumées par l’institution, et non de la responsabilité de chaque chef d’établissement, directeur ou IEN. C’est au DASEN, voire au recteur, de fermer les écoles et établissements d’une circonscription, d’un bassin, d’un département, voire de l’académie entière. »