« Comment se fait-il que des premières entrées et sorties soient déjà connues, comme à Bordeaux, alors que les discussions n’ont pas toutes eu lieu ? » interroge Sébastien Sihr, dans une lettre adressée à la ministre de l’éducation nationale le 14 octobre. A moins que le nombre de réseaux ait été affecté au hasard dans les académies il repose bien sur des listes pré existantes d’établissements ce qui diminue la transparence d’un choix non annoncé. « Comment seront prises en compte les écoles primaires qui scolarisent des publics très défavorisés, mais qui n’appartiennent pas à un secteur collège REP + ou REP ? » demande aussi le Snuipp.
» Il est impératif d’examiner avec précision et en toute transparence toutes les situations, tout comme il est indispensable de traiter les cas des écoles élémentaires et maternelles concentrant des difficultés sociales avérées », demande le Snuipp. Il demande la tenue d’un comité technique ministériel sur ces questions.