LE FAIT DU JOUR
Suppressions de poste : Les parents protestent
ÉDITORIAL
A quoi sert la vidéosurveillance ?
LE SYSTEME
Luc Chatel s’explique l Royaume-Uni : L’école, un marché comme les autres ? l Belgique : Un bilan pour l’intégration des Tice .
L’ÉLÈVE
Handicap : L’avenir des AVS est-il réglé ? l L’Unicef demande le maintien du Défenseur des enfants l Révisez avec le Guide du bac et du brevet 2010.
LA CLASSE
Quelle autorité pour les enfants et les élèves ?
ETABLISSEMENT PARTENAIRE
Des démarches innovantes en sciences et technologie au collège
LA RECHERCHE
Soutenez le Café et cultivez votre pédagogie avec L’anthologie des textes clés en pédagogie…
LES DISCIPLINES
Trois logiciels gratuits pour les sciences l Biodiversité : Les podcasts gratuits du CNRS l Espagnol : La loi contre l’immigration en Arizona.
Le fait du jour
Suppressions de poste : Les parents protestent
Après la publication par le Café pédagogique, le 31 mai, de documents ministériels proposant des pistes pour les suppressions de postes, le 1er juin a été marqué par de nouvelles déclarations des syndicats et des parents.
« L’Education nationale va encore devoir payer un lourd tribut au dogme du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant en retraite imposé par Nicolas Sarkozy », estime la Fcpe. « L’heure est au raclage de fonds de tiroirs et au grignotage !… La règle idéologique des suppressions de postes va notamment obliger le ministre de l’Education nationale à avouer ce que son prédécesseur n’avait jamais reconnu : les suppressions de postes ne peuvent se faire sans dégradation notable des conditions d’accueil des élèves ».
La Peep, seconde association de parents, cherche une position médiane mais critique les suppressions de postes. » S’il est évidemment compréhensible que le ministère réfléchisse au fonctionnement rationnel de notre système éducatif car c’est bien son rôle, il ne faut pas que la logique purement mathématique prévale », note la Peep. Critiques aussi sont les lycéens de la SGL. » en indiquant comme levier l’augmentation du nombre d »élèves par classe, le ministère veut conduire ouvertement à une surcharge de ces dernières, qui aboutira logiquement à la fin d’une éducation personnalisée pendant les cours par les professeurs, se trouvant en situation d’un trop plein d’élèves à suivre. Ainsi, les cours s’assimileront plus à un « gavage intellectuel » stérile (du fait du trop grand nombre d’élèves) qu’à des moments de transmissions de savoirs et d’épanouissement personnel, c’est un véritable retour en arrière ! »
Déçus, les enseignants du privé de la Fep Cfdt soulignent la mise en danger des réformes. « Loin de toute considération éducative, le ministère abat ses cartes et sans vergogne démontre que la seule finalité à toutes les réformes engagées est d’ordre économique. » C4est avec ironie que les inspecteurs du Si.en Unsa réagissent au plan CHatel, proposant au ministre d’autres pistes pour ses économies avant de qualifier ses mesures de « criminelles pou r l’école’.
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A quoi sert la vidéosurveillance ?
Publiée en 2007 par l’IAURIF, un institut d’urbanisme francilien, l’étude d’impact sur la vidéosurveillance dans les lycées franciliens, redevient d’actualité dans le débat actuel sur l’autorité et la violence scolaire. Or elle montre que la vidéosurveillance a une efficacité très limitée et a également des effets négatifs sur la lutte contre la violence.
Une aide à la disciplinarisation. « En ce qui concerne l’impact de la vidéosurveillance, il est variable selon les finalités définies », note l’étude. « Elle est efficace, lorsque les caméras sont placées à l’intérieur du lycée, sur la diminution des petits désordres susceptibles de perturber la vie scolaire dès lors qu’elle est bien exploitée. Ceci signifie que la vidéosurveillance doit s’accompagner d’une politique de sanction ou, tout du moins, d’une réponse à l’acte identifié… L’installation de caméras à l’intérieur des lycées a donc pour fonction d’appuyer la politique de disciplinarisation des comportements, d’aider à garantir l’ordre scolaire ».
La vidéosurveillance ne règle pas les questions de délinquance. « Par contre, l’impact de la vidéosurveillance est limité pour la lutte contre les intrusions et les vols. En effet, sous réserve de données plus précises que celles que nous avons pu mobiliser dans le cadre de cette étude, il apparaît d’une faible efficience sur la diminution des vols des biens personnels (portefeuilles, portables, MP3) et dans la lutte contre les cambriolages… Son impact est également limité pour lutter contre les intrusions qui ne cessent pas, dans les sites étudiés, avec l’installation de caméras. Pour plusieurs raisons : des lieux non surveillés sont empruntés, des stratégies d’esquive sont adoptées pour déjouer la surveillance des caméras (visage masqué ou entrée au même moment qu’un flux d’élèves) ». Pour l’IAURIF, « l’hypothèse selon laquelle la vidéosurveillance pourrait permettre de sécuriser un espace qui souffre d’une conception inadaptée aux usages et aux problèmes rencontrés semble finalement peu vérifiée. Par exemple, la problématique du contrôle d’accès aux entrées principales des élèves est davantage liée à la configuration de cet espace qu’à l’installation de caméras ».
Des retombées négatives. Mais la vidéosurveillance peut aussi faire augmenter la délinquance. « Les politiques de sécurisation des établissements centrées sur la protection contre la menace extérieure, marquent le désinvestissement, voire le désintérêt, sur ce qu’il advient une fois les grilles passées », estime l’étude. « En clôturant le périmètre d’un lycée, les missions de surveillance, de contrôle et d’intervention des surveillants et des CPE sont restreintes à l’intérieur de l’enceinte du lycée… L’effet pervers de ces politiques, au-delà de laisser l’élève seul face aux dangers, est de contribuer à générer une opposition entre le lycée et son quartier. Cette opposition peut être vécue comme frontale et brutale et entraîner des réactions offensives de la part des jeunes pas forcément scolarisés dans le lycée ».
Les appels sécuritaires récents, les déclarations du président de la République, ont remis au goût du jour l’idée de la sécurisation des établissements. ON voit ci concrètement les limites de ce raisonnement. L’étude constate malgré tout qu’ily aune forte demande de matériel de vidéosurveillance. La technique apparaît encore comme un recours aux problèmes sociaux. Les propos de JP Huchon, président du conseil régional d’Ile-de-France, tenus en février 2010, restent d’actualité. « Pour que les lycées soient réellement protégés, il ne suffit pas de construire des murs et d’installer des caméras de vidéosurveillance… Il faut créer des postes de surveillants à temps plein dans les établissements. Il faut stopper les suppressions d’emplois » .
Luc Chatel s’explique
Luc Chatel a confirmé et justifié l’existence des documents publiés. « La question des moyens n’est pas la réponse aux problèmes de l’Education nationale aujourd’hui… J’ai choisi une méthode qui consiste à ne pas décider de manière autoritaire depuis le ministère mais à travailler académie par académie, école par école à partir de besoins locaux », a-t-il déclaré. Il s’est retranché derrière le rapport de la Cour des comptes pour affirmer qu’il adaptait les moyens à la réalité des élèves.
Royaume-Uni : L’école, un marché comme les autres ?
L’école peut-elle être exploitée comme n’importe quel investissement ? Oui, accepte Michael Gove, le nouveau ministre de l’éducation. Alors que le programme des conservateurs prévoit de donner à toute école la possibilité de devenir une academy, c’est-à-dire une école publique gérée de façon privée, le ministre affirme qu’il accepte que des entreprises privées exploite ce gisement, même s’il préfère qu’elles soient gérées par des organismes sans but lucratif.
Plusieurs entreprises ont déjà fait connaître leurs projets de pénétration de ce nouveau marché ouvert par le gouvernement.
Autorité et concurrence gouverneront l’école
Belgique : Un bilan pour l’intégration des Tice
La Wallonie est-elle en retard ? Le site Enseignons.be publie les résultats d’une enquête sur l’intégration des tice dans l’enseignement. Il montre un taux d’équipement assez faible : 8,5 ordinateurs pour 100 élèves (France 12,5, Royaume-Uni 19,8, Flandres 34 au secondaire et 16 au primaire.
L’enquête souligne la fracture entre l’Ecole et les jeunes. « [Les enseignants] ne les [les nouvelles technologies] incorporent pas dans leurs pratiques pédagogiques. En général, ils ne les utilisent que pour préparer leurs cours. La cause n’est pas nouvelle : un déficit d’équipement dans les écoles (équipement souvent obsolète) et un manque de compétences. Comme le signale très justement l’étude de l’AWT, l’école dialogue de plus en plus difficilement avec les jeunes qu’elle entend éduquer, pour preuve la cohabitation entre des jeunes « Facebook » et l’enseignement de plus en plus compliquée . »
Handicap : L’avenir des AVS est-il réglé ?
Le ministère de l’éducation nationale annonce la signature d’une convention avec 4 associations de parents d’enfants handicapés « visant à permettre la poursuite du recrutement, par ces associations, des A.V.S. dont le contrat ne peut être renouvelé par le ministère » et d’une seconde convention entre le ministère de l’Éducation nationale et les associations gestionnaires de services d’aide et d’accompagnement à domicile (SAAD) « en vue de mettre en place une offre de service transversale à tous les lieux de vie, notamment le domicile et l’école ».
L’enjeu de ce texte c’est la reconnaissance du statut d’AVS et le maintien des relations que les enfants ont pu nouer avec des AVS. Sur le premier point; la question de la titularisation et de la formation des AVS reste posée, l’Etat se défaussant sur les associations.
Les conventions sont-elles applicables ? L’Unapei, une des principales associations de parents, en doute. « Après de nombreux échanges avec le ministère, l’Unapei demeure dans l’attente de précisions concernant les modalité sde financement de reprise des AVS, éléments indispensables pour apprécier la pérennité et la qualité du dispositif annoncé. » Pour l’UNapei, qui a dénoncé la convention signée en 2009, la question de la pérennisation des emplois d’AVS reste entière.
L’Unicef demande le maintien du Défenseur des enfants
Alors que le Sénat examine le projet de loi sur le Défenseur des droits, l’Unicef et la Cnape (Convention nationale des associations de sauvegarde de l’enfance) ont adresé au Sénat des propositions d’amendements pour que le nouveau Défenseur n’affaiblisse pas les missions du Défenseur des enfants. La loi devrait le supprimer.
Les deux associations rappellent que « des décennies de combat ont été nécessaires pour faire reconnaître internationalement la spécificité des droits des enfants. La mise en place du Défenseur des enfants, encouragée par les Nations unies et en voie d egénéralisation en Europe, est un dispositif incontournable de défense et de promotion de ces droits ».
Cette nouvelle démarche fait suite à la campagne lance par l’Unicef avec d’autres associations pour la sauvegarde du Défenseur des enfants.
Mobilisation croissante autour du défenseur des enfants
Révisez avec le Guide du bac et du brevet 2010
Alors que s’ouvre l’époque des révisions, le Café publie le Guide du bac et du brevet 2010.
Avec ce guide, dans chaque discipline, vous pourrez vous évaluer : il y a pour cela d’excellents exercices interactifs accessibles sur Internet; compléter vos notes et / ou les confronter aux cours sélectionnés accessibles gratuitement sur le réseau; revoir vos méthodes; mieux connaître les épreuves et savoir qui contacter pour vous aider.
Tout cela est possible grâce au plus grand réseau éducatif du monde : Internet. Toutes ces ressources ont été soigneusement sélectionnées par l’équipe de professeurs du Café pédagogique. Elles sont gratuites, disponibles directement. A votre disposition.
Le Guide du bac et du brevet 2010
La classe
Quelle autorité pour les enfants et les élèves ?
« Liberté, égalité, fraternité, autorité ». Cette nouvelle devise proposée par un lycéen pourrait devenir un slogan pour l’Union nationale des Apel, les associations de parents d’élèves de l’enseignement catholique. En préparation de son congrès national du 4 au 6 juin à Montpellier, sur le thème « autoriser l’autorité », l’Unapel publiait le 1er juin les résultats d’un sondage réalisé par CSA sur l’autorité des parents et des enseignants vus par les parents et les jeunes (15-24 ans).
L’autorité c’est le problème des autres. Selon ce sondage, quatre parents et quatre jeunes sur cinq jugent l’autorité positivement. Quatre parents sur cinq et deux jeunes sur trois sont persuadés que les parents n’ont pas suffisamment d’autorité. Mais les mêmes parents (86%) estiment qu’ils en ont suffisamment sur leurs enfants et les jeunes confirment (89%).
L’autorité et les suppressions de postes. Deux parents sur trois reconnaissent qu’ils ne soutiennent pas suffisamment l’autorité des enseignants et un jeune sur deux le sait. Ce qui menace l’autorité des enseignants c’est en premier lieu la surcharge des classes , pour 4 parents et 4 élèves sur 10, avant le manque d’éducation de certains enfants (probablement celui des autres…). D’après Julien Goarant, qui présentait les résultats pour le CSA, moins les parents sont diplômés plus la question de l’autorité est importante.
Que propose l’Unapel ? Pour Béatrice Barraud, présidente de l’Unapel et Dominique Dhooge, sa vice-présidente, il est important d’inclure dans la formation des enseignants un module sur la relation avec les parents. C’est la cohérence de la relation entre école et famille qui peut affermir l’autorité des enseignants. Cette demande pourrait être prise en compte par les instituts catholiques de formation des maîtres. Sur la réforme de la formation des enseignants, l’Unapel déclare ne pas avoir d’avis…
Etablissement partenaire
Des démarches innovantes en sciences et technologie au collège
Le Centre Spécialisé d’Enseignement Secondaire Jean Lagarde a pour mission la scolarisation de jeunes adolescents et adultes atteints de handicaps moteurs, visuels ou auditifs de la 6ème à l’enseignement supérieur. Pour atteindre cet objectif, cet établissement assure en synergie une mission de soins, d’éducation et bien sûr de scolarisation.
Il a développé des démarches innovantes pour l’enseignement des sciences et de la technologie au collège. Il en est ainsi de la démarche d’investigation en sciences par des élèves handicapés moteurs et sensoriels : activité interdisciplinaire pour les classes de 5ème, 4ème et 3ème en physique, SVT et français. Ou encore du projet Papercrete avec des élèves de 3ème DP6 et du centre de formation préprofessionnelle 3ème niveau pour sourds et dysphasiques : fabrication du matériau, essais et rédaction d’un article pour Wikipedia avec la participation de la section de techniciens supérieurs domotique du lycée charles de Gaulle de muret, le lycée des métiers du bâtiment Bayard de Toulouse, l’INSA et l’association des parrains et marraines du BTPPRO.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Soutenez le Café et cultivez votre pédagogie avec L’anthologie des textes clés en pédagogie
Sous-titré « Des idées pour enseigner », ce livre nous offre en quelques pages la synthèse des principaux ouvrages pédagogiques sur les apprentissages, l’enseignement, la relation pédagogique et le métier d’enseignant. Sur chacune de ces questions il confronte les points de vue des grands auteurs : Meirieu, Astolfi, Develay, Houssaye, Lévine, de Peretti, Perrenoud etc.
Autorité, échec scolaire, aide aux élèves, compétences : voilà quelques mots qui encadrent le débat actuel sur l’Ecole. Chacun bénéficie d’un chapitre dans cet ouvrage qui présente les réflexions de 28 grands pédagogues francophones. Une bible de la pédagogie ? Certainement pas car si la pensée y est riche, elle est aussi diverse, contradictoire parfois, en tous cas elle s’enrichit de ces confrontations.
Et l’ouvrage vaut ce que vaut son auteur. Danielle Alexandre « est tombée dans la pédagogie toute petite ». Elle nous a confié son avidité à se nourrir des travaux de sciences de l’éducation. Elle est passée par l’école normale d’institutrice. Elle a toujours enseigné dans des établissements considérés comme difficiles, par choix délibéré. Elle a enseigné de la maternelle au lycée et partagé son temps avec la formation. Tout cela lui a donné la possibilité de confronter théories et terrain. Et aussi une grande expérience de l’enseignement et des théories pédagogiques.
Alimenté à de telles sources, c’est dire que l’ouvrage pourra intéresser aussi bien l’enseignant que l’étudiant. Etudiants et débutants découvriront avec facilité et gain de temps la pensée des grands auteurs des sciences de l’éducation et ainsi mieux préparer les concours et examens. Les enseignants se plongeront dans l’ouvrage pour se former ou pour réfléchir aux difficultés de parcours qui émaillent ce métier. Les plus méchants feront une lecture comparative avec les discours officiels…
Grâce à ce livre, le lecteur pourra lire Astolfi sur le rôle de l’erreur, Perrenoud sur les compétences ou la différenciation, Meirieu sur la relation pédagogique, Peretti sur l’évaluation, Houssaye et le fameux triangle pédagogique, Hameline et les objectifs pédagogiques… Chacun pourra ainsi revenir aux sources. Pour le Café pédagogique, cet ouvrage est le livre de l’année.
Adhérez au Café pédagogique et bénéficiez de cet ouvrage à prix spécial : Enrichissez vos lectures pédagogiques ! Le Café pédagogique vous offre l’ouvrage et votre adhésion à l’association soutenant le Café pédagogique pour 26 euros seulement !
Danielle Alexandre, Anthologie des textes clés en pédagogie. Des idées pour enseigner, Paris, ESF, 2010, 160 pages, 12,90 euros.
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Lisez l’entretien avec Danielle Alexandre
Les disciplines
Trois logiciels gratuits pour les sciences
Educnet signale la publication de trois nouvelles ressources pour les sciences au collège. Didact Energie est une banque de données sur les énergies et leurs conversions. Elle sensibilise l’élève au développement durable. Physic Eau Chimie 5 propose une centaine de ressources sur l’eau projetables par TBI. L’eau et le vivant revient sur le thème de l’eau pour lequel il propose des modules qui peuvent être liés à des observations de terrain.
Biodiversité : Les podcasts gratuits du CNRS
Du 1er au 25 juin 2010, le CNRS vous offre gratuitement un podcast vidéo de trois minutes dédié à la biodiversité. Cette série de 19 films de 3 minutes présente les regards croisés de six chercheurs du CNRS spécialistes de la biodiversité avec chacun une approche différente. Paléontologue, économiste, écologue, biologiste de la conservation, philosophe, ethnologue, s’expriment ainsi sur quatre grandes notions de la biodiversité : la définition, la valeur, l’extinction, la conservation. Les films mettent en perspective les enjeux liés à la perte actuelle de la biodiversité. On peut le stélécharger sur le site du CNRS et même s’abonner à leur réception.
Espagnol : La loi contre l’immigration en Arizona
La nouvelle loi jugée vexatoire par les hispaniques suscite de violentes réactions. On estime à 11 millions le nombre d’immigrés « clandestins » aux Etats-Unis. Le Café mensuel de mai consacre un dossier spécial à ce phénomène destiné aux professeurs d’espagnol.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
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Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.
Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site d’une information quotidienne et leur permettre d’être les premiers informés dans leur établissement.
RSS : Le retour
Le changement de plate-forme avait mis à mal les fils RSS du Café. Ils sont maintenant pleinement rétablis. Vous pouvez vous abonner aux flux simplement en cliquant sur l’icône RSS en bas de page. Et cela pour chaque rubrique du Café.
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