Par Laurence Ryf
En introduction, Gérard Guillot, agrégé de l’Université en Philosophie, enseignant actuellement à l’Institut Universitaire de Formation des Maîtres (IUFM) de l’Académie de Lyon au sein de l’Université Lyon I C. Bernard, auteur de nombreuses réflexions pédagogiques, a accepté d’enrichir ce dossier d’une analyse dynamisante pour nous tous, tant elle nous encourage dans nos pratiques tout en redonnant à l’Ecole –si souvent décriée – ses lettres de noblesse.
Le défi ou le pari de la confiance contre la défiance
La vie est une série de défis : il est peut-être banal de le rappeler. Mais, le premier défi de tout sujet est d’exister et d’être reconnu comme personne à part entière. A quoi reconnaît-on quelqu’un : à ce qu’il fait. Et le principal défi éducatif et pédagogique est de reconnaître avant de juger ; c’est tout le problème de l’évaluation dont la racine, « valeur », signifie bien qu’il y va de ce que l’on juge : l’élève ou ses productions ? Nous n’avons pas à juger de la valeur des personnes, le respect étant une exigence éthique universelle a priori et inconditionnelle, nous avons à évaluer, en les associant à la compréhension des critères utilisés par rapport aux consignes, leurs résultats mais aussi la démarche adoptée pour les obtenir. Or les élèves en difficulté dans le contexte scolaire ressentent trop souvent, malgré les efforts de certains enseignants, un jugement sur leur niveau, sur « ce qu’ils valent » ; ils comparent ces jugements et se « classent » eux-mêmes, chargés de l’héritage des attitudes et habitudes récurrentes de maints parents et enseignants. Si je suis « mauvais », « nul » en ceci ou en cela, voire « en échec » (qui prononce ce verdict en premier et sur quelles bases ?…), différent, originaire d’une autre culture, porteur d’un handicap, par quels défis me faire reconnaître et estimer ? Soit je renonce, restant en retrait (et il est bien des souffrances silencieuses, socialement peu dérangeantes mais humainement inacceptables), soit je me rebelle et m’affirme dans des formes variées de provocation générant leurs cascades de « punitions ». La spirale du négatif requiert des ruptures alternatives : c’est ce que propose Laurence Ryf, en présentant un éventail pertinent de possibles qui illustrent le courage des initiatives de nombreuses équipes éducatives ouvertes à un partenariat de la réussite.
Les enfants, préadolescents et adolescents aiment les défis : pour que ceux-ci soient éducatifs ils doivent être crédibles et réalistes. Offrir à un élève la possibilité de se réaliser en réalisant quelque chose est l’essence même de la pédagogie. De plus, réaliser en coopérant avec d’autres, dans une émulation entre équipes, sans compétition sauvage avec un gagnant qui gagne tout et un perdant qui perd tout, mais dans une mutualisation des acquis, c’est véritablement une con-quête, non une conquête contre les autres mais une quête avec les autres, dans la jubilation de l’investissement de ses énergies créatrices. La démarche de projet « qui permet de pousser un peu les murs de la classe » comme l’écrit Laurence Ryf est une école de solidarité active dans l’ouverture au monde, facilitant les apprentissages qu’un contexte vécu par nombre d’élèves comme routinier et élitiste, comme une véritable langue étrangère pour certains, inhibe ou masque trop souvent. Un tel défi, dans ses différentes architectures imaginables, pour les élèves comme pour les enseignants et tous leurs partenaires, est tout le contraire de la défiance : c’est le pari de la confiance. Il ne s’agit pas de faire de « l’humanitaire scolaire » pour « élèves en difficulté » (apprendre et vivre ensemble, cela est difficile pour tout le monde), mais de promouvoir l’humanité de et dans l’école. La découverte de son potentiel est bien plus importante que la comptabilité de ses « notes ». Faire, communiquer, créer, apprendre, se dépasser, n’est-ce point ce qui caractérise fondamentalement l’acte éducatif plutôt qu’exécuter, répéter, reproduire, retenir, se rabaisser ? Pour un enseignant, une classe c’est Montaigne, et non « mes teignes » ! Acquérir, développer une estime positive de soi est le tremplin nécessaire de nos audaces créatrices. Les jeux d’écriture permettent ainsi de maîtriser la langue pour inscrire sa parole dans le monde, pour inscrire son histoire en devenir, participer, avec ludicité et lucidité, au festin de la diversité, et échapper à la dictée sociale d’un destin.
Une telle perspective n’est pas facile mais elle est faisable. Notre métier est ingrat, surtout dans notre société et notre monde actuels peu porteurs d’espérance. Pour paraphraser une formule que Descartes appliquait à notre apparence envers les autres : « la passion est au nombre de nos devoirs ».
Gérard Guillot
http://philo.gerard-guillot.fr/post/2007/07/13/
Faire participer ses élèves à un concours ?
Si la dimension ludique des Concours d’expression permet de susciter l’intérêt des élèves et partant leur motivation, les engager dans des jeux d’écriture est aussi un bon moyen de leur faire acquérir les compétences linguistiques et socio culturelles définies par les programmes. Il serait en effet regrettable de considérer ces propositions d’activités comme secondaires ou périscolaires au lieu de s’en saisir comme d’un outil pédagogique inestimable.
En premier lieu, l’inscription d’une classe dans un concours qu’il soit national ou local est le plus souvent efficace pour fédérer les élèves autour d’un enjeu commun et remédier par là même aux situations conflictuelles ou problématiques. Il ne s’agit plus pour l’élève de se définir sur un mode individuel et par opposition à l’autre, du « premier de la classe » à « l’élève en échec » en acceptant (ou pas) de recevoir le savoir offert par l’enseignant. Tous se doivent d’entrer en action, de participer à un même jeu, et à chacun de donner le meilleur de lui-même pour que l’équipe l’emporte. Ainsi naît rapidement un esprit de groupe qui facilite l’entrée dans les apprentissages tout en permettant aux élèves de découvrir par eux-mêmes l’intérêt de l’entraide et du partage.
Savoir qu’il est d’autres équipes ailleurs est d’autre part une source supplémentaire d’émulation. La classe n’est plus repliée sur elle-même mais gagne à s’ouvrir aux autres. L’élève (comme l’enseignant) ne se sent plus seul entre les 4 murs de son savoir mais partie prenante d’une action plus vaste, communautaire, valorisée la plupart du temps pour tous les participants grâce à la lisibilité de toutes les productions quel que soit le gagnant.
Les outils de la langue vont alors s’acquérir d’autant plus aisément que leur étude va s’organiser en fonction des besoins exprimés par les élèves, à mesure qu’ils avancent dans leurs travaux. Chacun d’entre eux peut être investi en fonction de son niveau d’une mission particulière mais indispensable à la réussite d’ensemble. Plus personne n’est en échec et chacun peut progresser à son rythme. A la situation de « reproduction » dans laquelle l’élève apprenant est le plus généralement placé se substitue une situation de « production ». Aux exercices systématiques, souvent rigides et parfois vides de sens se substituent des activités toujours inscrites dans des situations vraies de communication. Les outils de la langue sont au service du sens et perçus comme utiles pour celui qui cherche son Dire, dans l’assurance joyeuse qu’il sera la trace de sa présence au monde.
Plusieurs des concours proposés cette année permettent en outre de valider les compétences du B2I et devraient aider les enseignants de lettres à faire entrer les TICE dans leurs pratiques quotidiennes de classe comme le demandent les instructions officielles.
Pour les enseignants qui n’ont guère l’expérience de la pédagogie de projet, il est bon de rappeler que de nombreuses ressources sont disponibles pour chaque concours et que donc le travail de préparation en est facilité.
S’ils sont toujours en lien étroit avec les programmes du collège, les concours d’écriture mêlent ainsi inextricablement savoir, savoir-faire et jubilation. La créativité des élèves est constamment sollicitée et c’est aussi parfois l’occasion pour eux de se découvrir des passions ou des vocations jusqu’alors ignorées. Les dimensions artistiques et culturelles inscrivent les activités dans un cadre plus large qui permet de pousser un peu les murs de la classe ou soit dit autrement d’élargir ses horizons.
Jeux d’écriture : les mots de la rencontre
Le sujet retenu cette année pour la Semaine de la Langue française « Les mots de la rencontre » du 14 ou 24 mars 2008 répond parfaitement aux objectifs précédemment énoncés.
A l’initial, partez à la rencontre des dix mots proposés à la France et au Québec :
Apprivoiser, boussole, jubilatoire, palabre, passerelle, rhizome, s’attabler, tact, toi, visage
Ce concours pourra trouver place dans plusieurs séquences proposées au collège, de la 6ème à la 3ème. « la communication » (en 6ème) ; « le portrait » ( 5ème- 3ème) ; « la rencontre » ( 4ème) tandis que la forme même du sujet invite de prime abord à savourer chacun des dix mots dans une approche poétique du langage lors d’ateliers d’oralité ou d’écriture. Sans doute convient-il de se mettre d’abord le mot en bouche et d’en estimer toutes les saveurs en s’intéressant tant à sa sonorité qu’à son histoire. Toutes sortes d’activités liées à l’apprentissage du vocabulaire peuvent être envisagées : recherches dans le dictionnaire, classement selon les domaines culturels visés (ex : sciences : boussole – rhizome) ; élaboration de champs lexicaux et de champs sémantiques; travail sur la synonymie et l’antonymie ; recherche d’images poétiques.
L’intention est bien d’aller du mot au texte, de proposer aux élèves de s’emparer de chacun de ces mots, et de les inviter à réagir librement en les laissant exprimer toutes leurs associations d’idées. Sorte de brainstorming à l’orée du bois. A chacun ensuite de suivre ses meilleures traces, de définir son champ de recherche et d’aller de découverte en découverte jusqu’à sa plus belle rencontre. Une situation d’écriture qui est aussi une invitation au voyage et à l’investigation toujours chaleureuse de celui qui s’ouvre aux autres en s’approchant toutes les fois un peu plus de lui-même. Si l’écriture est l’enjeu, ce concours est d’abord un jeu d’écriture. Une approche progressive et donc rassurante pour nos élèves trop souvent démunis face à l’écrit, découragés par toutes les compétences qu’ils doivent mobiliser en même temps dans un exercice classique de rédaction. Partir du mot pour aller vers le texte et prendre conscience à mesure que c’est le pas qui fait le chemin.
L’approche citoyenne et transversale induite par le sujet lui-même, loin d’être négligée, devrait s’imposer tout naturellement et faciliter la mise en œuvre d’une progression pluridisciplinaire. Toutes les matières peuvent travailler en cohérence et en complémentarité d’autant que les modalités de participation envisagées sont particulièrement larges et laissent toute liberté à chacun de choisir son support d’expression : textes, images, réalisations graphiques et plastiques, vidéos, chansons, poésies, joutes oratoires, panneaux illustrés, etc.
En un temps marqué par l’exacerbation des individualismes, il s’agit au travers de ce concours de redécouvrir le plaisir que procure la langue quand elle devient langage et permet de tisser des liens avec les autres comme avec les œuvres, dans le temps comme dans l’espace.
Date limite d’envoi des réalisations au CRDP d’Angers le 6 février 2008 pour participer à la Semaine de la Langue française
http://www.semainelf.culture.fr
http://ww2.ac-poitiers.fr/lettres/spip.php?article94
Des séquences ou des ressources en relation avec le thème :
Etude d’un genre : le portrait
http://lettres.ac-rouen.fr/sequences/seq_3/portrait/INDEX.HTM
BNF : Le portrait, l’exposition
http://classes.bnf.fr/portrait/
Les dossiers de weblettres : La rencontre amoureuse et la rencontre amoureuse en poésie
http://www.weblettres.net/spip/article.php3?id_article=433
http://www.weblettres.net/spip/article.php3?id_article=634
Une autre rencontre avec le Québec : Un prix littéraire et un site à suivre
http://www.ac-nice.fr/lettres/parc/index.php?lng=fr
La presse : des élèves et des profs branchés
C’est souvent au mois de mars que l’on regrette de ne pas avoir inscrit en temps et heure nos classes dans un projet lié à l’actualité. Nombreux sont alors les documents qui arrivent dans les CDI pour nous inviter à participer à la semaine de la presse et nous sommes souvent désolés de ne pouvoir nous en saisir, étant alors dans d’autres séquences ou problématiques.
Aussi n’oublions pas cette année d’anticiper. Qui plus est, les concours de journaux, de rédactions d’articles ou encore de reportages vidéo sont savamment accompagnés d’outils pédagogiques pour les enseignants et de mises en exercices pour les élèves. De quoi enrichir pour les uns comme pour les autres ses pratiques, tout en actualisant ses connaissances. L’ Ecole se doit d’évoluer au même rythme que la société dans laquelle elle s’inscrit et de rester branchée (dans les deux sens du terme : « dans le coup » d’une part ; et en lien avec ce qui lui extérieur d’autre part.) Sans ouverture, le risque est grand de s’y asphyxier et d’y perdre la raison. La raison de sa présence en classe comme l’envie de raisonner. Je me suis souvent demandée si un élève qui faisait tout pour se faire exclure d’un cours ne cherchait tout simplement pas un appel d’air…
Lire la presse, c’est bien sûr s’informer mais c’est aussi participer à des débats d’idées. Mais si emporter la conviction de son lectorat est l’un des enjeux forts des textes journalistiques, encore faut-il savoir argumenter. L’outil, qu’il soit linguistique ou technologique demeure au service de la volonté pensante qui a besoin de lui. Inciter des adolescents à exprimer en la justifiant leur vision du monde ou de la société, c’est leur accorder un espace de parole. Travailler avec eux le discours argumentatif, c’est les aider à l’investir en y gagnant de la crédibilité. Car si l’on n’existe qu’au travers du regard de l’autre, encore faut-il trouver les moyens de se faire entendre, et nos élèves si prompts à reprocher à l’adulte « de ne jamais rien comprendre » pensent parfois argumenter là où ils ne font qu’affirmer péremptoirement.
En réception, lire la presse c’est aussi apprendre à déjouer les stéréotypes comme les sophismes pour échapper aux manipulations. On ne jette pas de la poudre aux yeux à un lecteur averti ; savoir lire, c’est incontestablement gagner en liberté.
Si dans le domaine de la maîtrise de la langue, la presse (en production comme en réception) est un support idéal pour l’étude du discours argumentatif, « les nouvelles technologies » sont assurément des outils performants pour nous y aider. Elles nous permettent de travailler les relations texte – image – mise en page dans une approche toujours réfléchie puisque problématisée. Dans le cadre du cours de français, c’est donc bien sûr la pertinence dans l’utilisation du multimédia qui doit primer et non la seule « technicité ». Dans cette optique, réussir le B2I n’est pas un nouveau but à atteindre ni par conséquent une charge de travail supplémentaire pour l’enseignant mais un moyen attestant d’aptitudes à communiquer de façon tout aussi cohérente que convaincante.
Prix Alexandre Varenne : Concours national de journaux scolaires et lycéens
Date limite de la remise des journaux : Mars 2008
Remise des prix à Paris le 31 mai 2008
Approche dynamique de la presse et du journalisme. Valorisation de toutes les publications et accompagnement des travaux par des fiches conseils personnalisées. Pour donner une dimension professionnelle aux journaux scolaires
http://www.clemi.org/medias_scolaires/concours/varenne08/concoursVarenne08.html
19e Semaine de la presse et des médias dans l’école
Du 17 au 22 mars 2008
Toutes les informations indispensables sur le site du Clemi. Des outils, des ressources, des exemples de participations et des témoignages :
http://www.clemi.org/spe1.html
Ecrire un article pour faire découvrir un métier
Concours pour les classes de 3ème :
Vous avez jusqu’au 21 mars 2008 pour faire parvenir le texte.
http://www.onisep-reso.fr/concours2008/concours_ecrire/index.html
Valider le B2I en découvrant les métiers de l’informatique
Concours pour les classes de 4e et de 3e
Vous avez jusqu’au 11 mars 2008 pour réaliser un diaporama présentant un métier de l’informatique
http://www.onisep-reso.fr/concours2008/concours_b2i/index.html
Concours national « reportages »
6ème édition : année 2007-2008
L’objectif est de susciter une réflexion concrète sur le traitement et l’écriture audiovisuelle de l’information. Il s’agit en effet de monter un reportage vidéo de 3 à 6 minutes à partir de rushes qui ont servi à produire un reportage diffusé sur ARTE.
Le thème: « Les jeunes de banlieue et la politique »
La date limite de l’envoi du film est fixée au 30 avril 2008
http://www.clemi.org/nouveau.html
Concours « Des mots pour voir »
Histoires de l’Histoire de l’art pour apprendre, inventer, écrire avec les images – 2007-2008 – 8° édition
Le concours « Des mots pour voir » est un concours d’écriture international par Internet qui s’adresse à tous les jeunes francophones de 13 à 20 ans (trois catégories) ainsi qu’à ceux qui apprennent le français comme langue étrangère.
Il s’agit d’écrire un texte à partir d’une des œuvres présentées sur le site
http://www.imageimaginaire.com
14 items du B2I (sur un total de 29 items, soit près de la moitié des compétences à acquérir au cours des quatre années de collège) peuvent être validés par le professeur de français grâce à une participation au concours.
http://www.ac-orleans-tours.fr/lettres/textimage/concours/pageannonce.htm
Récits policiers : mener l’enquête sur le net
Avec des élèves plus jeunes – du cycle 3 à la classe de 5ème – il est bon de poser les jalons qui faciliteront ultérieurement l’étude systématique de l’argumentation. Encore très ancrés dans le concret, et peu aptes à jongler avec les concepts, ces élèves se révèlent souvent très doués pour raisonner et donc particulièrement logiques, quand on leur propose de mener l’enquête en suivant une trame narrative.
En outre, les récits policiers sont des supports très intéressants pour mettre en activité tous les élèves d’une classe quel que soit leur niveau. On sait tous en effet qu’à côté « des malins », il en est d’autres qui ont du mal à prélever de l’information et d’autres encore qui ne savent qu’en faire. Les inviter à mener tous ensemble une enquête, c’est permettre à chacun d’être investi d’une mission en fonction de son niveau de compétences.
Deux concours régionaux d’autant plus séduisants qu’ils nous offrent l’occasion de faire acquérir à nos élèves des compétences fines en recherche documentaire et en analyse des informations fournies par Internet seront ouverts début janvier.
Les énigmes de Monsieur mystère
Défi internet 62
Les énigmes sont proposées à toutes les classes cycle 3 (CM1 et CM2) et de 6ème du Pas de Calais. Un concours qui permet de travailler en les mettant en cohérence toutes les compétences au programme. Des recherches documentaires finalisées qui demandent astuce, méthode et stratégie pour plus largement faire acquérir aux élèves des démarches de lectures et de recherches.
Le concours sera ouvert le lundi 14 janvier 2008 et se terminera le samedi 26 avril 2008
Début de inscriptions 12 novembre 2007.
http://www.defi-internet62.net/index.php4
Le parfum de la dame en noir
A Paris aussi on mène l’enquête et « Au-delà de son aspect ludique, ce concours est un projet pédagogique multimédia centré sur la démarche d’investigation où s’articulent apprentissages méthodologiques, maîtrise des langages, éducation à la citoyenneté et usage des TIC dans un contexte réel d’échange avec une instance extérieure à la classe. »
Ce concours est ouvert aux écoliers CM1-CM2 et aux collégiens (6ème – 5ème)
Pendant 6 semaines, chaque lundi, de nouveaux indices seront mis en ligne sur le site et les élèves disposeront alors d’une semaine pour envoyer l’état de leurs recherches par email.
Les objectifs pédagogiques sont bien déclinés sur la page de présentation du projet et mettent l’accent sur les compétences langagières abordées au cycle 3 et consolidées au début des années collèges. Un concours qui pourrait très certainement trouver sa place dans le cadre d’un projet de liaison CM2-6ème
Début du concours le lundi 7 janvier 2008 (durée : 6 semaines)
http://dame-en-noir.scola.ac-paris.fr/