Colloque « L’Action française. Culture, société, politique », 21, 22, 23 mars 2007
Ce colloque est organisé par le Centre d’histoire de Sciences Po, avec le concours de l’Institut de Recherches Historiques du Septentrion (IRHIS) et du Comité d’Histoire Parlementaire et Politique (CHPP), sous la direction de Michel Leymarie et Jacques Prévotat.
http://centre-histoire.sciences-po.fr/centre/colloque/action_francaise.htm
Images et sons de mai 68 (1968-2008)
Colloque international Organisé par le Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines (Université de Versailles Saint-Quentin), l’Institut national de l’audiovisuel (INA), le Laboratoire Communication et politique (CNRS) : Paris, Institut national de l’audiovisuel 15, 16, 17 avril 2008.
Depuis quarante ans, « Mai 68 » occupe, dans les imaginaires collectifs, une place singulière. Sa perception même a connu des infléchissements considérables. A l’heure où les débats sur les conséquences de mai 68 envahit l’espace public, il est important de poser la question : « que reste-t-il de 68 aujourd’hui ? » […] Des images et des sons, Mai 68 en a suscité en quantité dans un temps pourtant très court, et sous des formes étonnamment variées. […] Trois axes de réflexion seront privilégiés. Le premier axe concerne la production des images et des sons au printemps 1968 ; le deuxième axe s’attache à la construction des représentations de mai 68, par l’image et le son, dans les quatre décennies qui suivent ; le troisième axe intégrera les deux précédents dans une perspective comparatiste.
Images et histoire, méthode d’analyse des documents iconographiques
Cet ouvrage (éditions Belin) est l’œuvre d’Annie Duprat, membre du Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines.
http://www.sfsic.org/portail/index.php?name=News&file=article&sid=875 http://www.sfsic.org/portail/index.php?name=News&file=article&sid=874
Le nouveau blog du magazine l’Histoire
La magazine s’est doté d’un blog (depuis octobre dernier).
http://histoire.typepad.fr/le_blog_de_lhistoire/
Repentance coloniale
Catherine Coquery Vidrovitch vient de faire un compte rendu pour le Comité de vigilance des Usages Publics de l’Histoire du fameux ouvrage de Lefeuvre sur la prétendue repentance coloniale. A lire absolument…
http://cvuh.free.fr/index.html
La revue pour l’histoire du CNRS
Le dernier numéro de « La Revue pour l’histoire » du CNRS est sorti. Cette revue, créée en 1999 par le Comité pour l’histoire du CNRS, « produit une histoire documentée et critique du CNRS et de la science française en général. Soucieuse de son inscription dans son époque, elle est un espace d’échange d’expériences entre des chercheurs travaillant sur différents types de matériaux historiques. »
http://histoire-cnrs.revues.org/
Violence, révolution et construction des mythologies nationales (18e-20e siècles)
Journée d’études CHCSC-UVSQ – Vendredi 6 avril 2007 Lieu Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, UFR SSH, 5-7 boulevard d’Alembert, 78280 Guyancourt, bâtiment d’Alembert, amphithéâtre Montesquieu. Responsable scientifique Annie DUPRAT, Professeur, Université de Cergy-Pontoise, CHCSC-UVSQ.
La violence révolutionnaire peut-être lue de plusieurs manières : une des modalités de l’événement, un moyen de gouvernement ou la matrice des totalitarismes du XXe siècle. La révision « critique » de l’histoire de la Révolution française qui s’est opérée au cours des années 1970, si elle a eu le mérite d’aider les historiens à « penser » à nouveau la Révolution française par de nouvelles approches, a eu pour conséquences inattendues de conduire le grand public à établir une équation simpliste entre « 1789 » et « guillotine ». L’héritage positif de l’événement a été occulté par ses modalités extrêmes.
La publication du livre de Jean-Clément Martin, Violence et Révolution. Essai sur la naissance d’un mythe national (Seuil, 2006) est l’occasion de s’interroger sur l’écriture de l’Histoire et singulièrement sur les usages des récits de violence dans la construction des identités nationales et/ou de leurs mythes fondateurs. L’objectif de cette journée d’études est de montrer comment la représentation de la violence révolutionnaire a servi de matrice à l’écriture des histoires nationales pour, in fine, forger des mythologies propres à chaque pays mais dont les caractéristiques peuvent être confrontées à celles des autres pays. On a privilégié des approches soit théoriques, fondées sur l’analyse des discours ou des philosophies politiques, soit plus axées sur les phénomènes de représentation et de diffusion (la presse, les affiches ou le cinéma qui jouent un rôle majeur au XXe siècle, soit encore en parcourant des études de cas significatives. Une deuxième journée d’études aura lieu le 28 septembre 2007 sur le thème « les mots des révolution.
http://www.chcsc.uvsq.fr/journees/mythologiesnationales.htm