Après une manifestation qui avait réuni à Paris un chef d’établissement sur trois, le Snpden a entamé des négociations avec le ministère. Le compte n’y est pas encore et l’action devra se poursuivre » estime le syndicat. Parmi les points de blocage : le temps de travail des chefs d’établissement. Parmi les avancées : la rédaction d’une charte régissant les relations entre les établissements et les rectorats, un point important pour le Snpden qui dénonçait l’autoritarisme des services académiques.
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