« Grâce à de nouvelles normes réglementaires et à des technologies de traitement des fumées performantes, les rejets de dioxines ont nettement diminué ces dernières années dans le secteur industriel, et les niveaux d’émission représentent aujourd’hui un risque négligeable pour la santé. Cependant, du fait de la persistance des dioxines dans l’environnement, se pose le problème d’une contamination historique des milieux et de son impact sur les populations exposées. Par ailleurs, à côté des sources industrielles, il subsiste des sources diffuses, difficilement contrôlables » L’intérêt de cette étude de l’IAURIF c’est de faire entrer deux dimensions nouvelles dans le dossier : d’une part l’historicité (la pollution précédente laisse des traces) d’autre part le civisme. En 2005, une étude d’Airparif avait mis en évidence des sources privées de dioxine issues de micro-événements (destruction sauvage de déchets etc.). La limitation de la dioxine en agglomération suppose une formation de la population.
http://www.iaurif.org/fr/ressources_doc/publications/publicationsrecentes/notesrapides/pdf/environ_sante/NR417.pdf#search=%22iaurif dioxine%22
Etude Airparif
http://cafepedagogique.net/lemensuel/lenseignant/schumaines/eedd/Pages/2005/64_accueil.aspx
