L’AFP a rendu compte d’une lettre que Nicolas Sarkosy a écrite au député Jack Lang à propos des modalités de la présence policière dans un établissement scolaire: la présence se fera sur « sur la base d’une demande claire du chef d’établissement ». Cette « demande claire » devra être « validée en conseil d’administration après débat en comité d’éducation pour la santé et la citoyenneté »: les mots ayant leur importance, « validée » est-il équivalent à « votée »?
Le ministre continue: « Actuellement, il y a en France 4.156 policiers et gendarmes désignés comme interlocuteurs « référents » des établissements scolaires. Ce sont eux qui seront amenés à assurer des permanences en cas de demande des établissements. » Enfin, la police pourra « conduire avec le chef d’établissement un diagnostic de sécurité. »
Nos derniers articles
Retrouvez sur cette page une sélection de 10 articles sur l’actualité de l’éducation publiés cette semaine. Rentrée 2025 : les premières mesures d’Elisabeth Borne Pas d’énième loi pour la
Retrouvez sur cette page les 10 ressources pédagogiques relayées cette semaine dans le Café pédagogique. L’IA au service de la différenciation en lettres ? L’Intelligence Artificielle peut-elle aider l’enseignant·e
Pas d’énième loi pour la rentrée, mais le maintien de la réforme des groupes de besoins en 6e et 5e avant une évaluation de cohorte sur deux ans. Pas de
Et non ! Ce ne sont pas les syndicats qui demandent un budget mais bien l’Inspection Générale à propos des enseignements pluridisciplinaires au lycée. Dans un rapport, l’IGESR n’est pas
Des classes à 20 ? c’est ce que propose ce professeur d’histoire-géographie : « Il est inutile d’inventer des dispositifs particuliers, d’imaginer une école révolutionnaire, de bricoler des groupes de
Sollicite-t-on les élèves de la même manière quels que soient les contextes sociaux de leurs établissements scolaires ? Ou sont-iels confronté·es à des degrés d’exigences différents qui risquent insidieusement de