Algérie : 6.000 postes pour enseigner le français dès le primaire
Le gouvernement algérien a adopté en janvier une réforme de l’éducation qui rétablit l’enseignement du français dès l’école primaire. A la rentrée 2004, le français sera enseigné dès la 2ème année de primaire ce qui amène le gouvernement algérien à recruter 6.000 enseignants supplémentaires. Il pourrait également faire appel à des retraités.
http://fr.allafrica.com/stories/200406070971.html
http://cafepedagogique.net/lemensuel/lesysteme/Pages/2004/inter_45_accueil.aspx
Algérie : Le français et la liberté de l’enseignement
» On n’a pas le droit d’interférer dans le choix des parents. Ce sont nos enfants et nous sommes libres de choisir dans quelle langue ils étudient ». C’est ce qu’affirment les parents des rares écoles privées algériennes sommées d’abandonner le français au profit de l’arabe. Or le français reste la langue utilisée en université pour les enseignements scientifiques. A l’école primaire, il redevient la langue privilégiée (18 heures) devant l’anglais (6 heures), l’arabe (15 heures).
http://www.lanouvellerepublique.com/actualite/lire.php?ida=12650&idc=4
Sénégal : Ouverture de la conférence régionale sur l’enseignement secondaire
Alors que seulement un jeune sur quatre a accès à l’enseignement secondaire en Afrique subsaharienne, le nombre d’enfants scolarisés dans le primaire connaît une forte croissance. Les états africains anticipent sur l’explosion prévisible du secondaire et échangent sur les moyens et les modèles.
http://fr.allafrica.com/stories/200406070177.html
Sénégal : L’enseignement secondaire devient une priorité
La deuxième conférence africaine sur l’enseignement secondaire s’est close à Dakar. A cette occasion, le directeur sénégalais de l’enseignement secondaire a rappelé que le développement de l’enseignement secondaire ne serait possible qu’avec un appui plus ferme des donateurs. « Si nous sommes, aujourd’hui, tous d’accord au niveau de la conférence qu’il faut un cycle fondamental de dix ans, avec une scolarisation universelle à l’horizon 2015, il nous faut aussi un effort extrêmement important dans ce domaine, et l’Etat seul ne pourra pas le faire. C’est pourquoi le ministre de l’Education, le Pr Moustapha Sourang a lancé, dès l’ouverture, un appel aux partenaires au développement pour accompagner les efforts de nos Etats ».
http://www.lesoleil.sn/education/article.cfm?articles__id=38505
Sénégal : Des villages refusent toujours l’école
A Aynoumady, nous dit Le Soleil de Dakar , les villageois refusent toujours l’école. Comment les convaincre de l’accepter ? Pour le préfet, « la nouvelle donne est d’ouvrir deux classes en séparant les filles des garçons ». La région préfère l’école coranique à l’école « française ».
http://fr.allafrica.com/stories/200406100691.html
Sénégal : Progrès de la scolarisation
Selon Le Soleil, le taux brut de scolarisation du Sénégal est passé de 65% à 80% entre 1999 et 2004. Ce sont près de 400.000 enfants supplémentaires qui ont trouvé une place à l’école. Un effort énorme. Mais l’objectif de 100% de scolarisés au primaire n’est pas encore atteint.
http://fr.allafrica.com/stories/200406150350.html
Sénégal : Scolarisation, pauvreté et sécheresse
« Les effectifs des deux classes de ce village se réduisent au fur et à mesure que le puits accuse des problèmes… Chaque semaine ce sont des parents qui viennent m’annoncer qu’ils sont obligés de partir avec leurs enfants ». Dans les régions sylvopastorales du Sénégal la scolarisation avance moins vite que la croissance de la population. La sécheresse est un facteur parmi d’autres, nous dit Sud Quotidien. Parmi les autres facteurs, les traditions (mariages précoces, travail des enfants), la corruption qui retarde les investissements, la pauvreté. Pour un élu local, « il faut mettre un terme à la politique de l’autruche… L’ouverture de nouvelles campagne s’avère nulle sans une approche globale intégrant les autres aspects tels l’accès à l’eau, à la santé, aux programmes de lutte contre la pauvreté ».
http://fr.allafrica.com/stories/200406210719.html
Cameroun : Voici venu le temps de la corruption
Les élèves camerounais seront en vacances à partir du 18 juillet. On entre maintenant, nous dit le quotidien Fraternité, dans le mois de la corruption. « Les garçons pour leur part s’arrangent pour se rapprocher de la petite amie du professeur, afin de profiter de ses bonnes grâce. En ce qui concerne les filles, elles sont souvent obligées d’offrir leur corps ». Cette prostitution scolaire serait une pratique « courante ».
http://fr.allafrica.com/stories/200406150553.html
Burkina Faso : Examens, grigris et corruption
Selon le quotidien Sidwaya, « il y aurait les bics magiques, les poudres intelligentes, le « Nasgui, breuvage issu du lavage des tables coraniques et les prières… Quand toute cette préparation continue de présenter des failles, on va à la recherche du pétrole ». Le pétrole c’est tout simplement l’achat des sujets.
http://fr.allafrica.com/stories/200406181020.html