L’annonce
par le nouveau président kenyan, M. Mwai Kibaki, de la gratuité des écoles
primaires publiques a provoqué une véritable ruée vers les inscriptions. Des
scènes chaotiques se sont déroulées dans les établissements scolaires qui
n’ont toujours pas reçu d’instructions officielles. L’AFP cite le témoignage
de ce père de famille, garde de sécurité : « Avant je payais 14.000
shillings (180 dollars) par an à l’école pour trois de mes enfants et je
gagne à peu près 6.000 shillings par mois. C’était trop difficile ». Le
pays compte plus de trois millions d’enfants non-scolarisés et certains
états voisins, tel l’Ougenda, ont déjà assuré la gratuité scolaire. Dans ce
pays, le nombre d’enfants scolarisés est ainsi passé de 2,5 à 6,5 millions
grâce à la construction, avec l’aide des parents, de plus de 50.000
classes.
Sur le site de l’Unesco
Nos derniers articles
Retrouvez sur cette page une sélection de 10 articles sur l’actualité de l’éducation publiés cette semaine. Rentrée 2025 : les premières mesures d’Elisabeth Borne Pas d’énième loi pour la
Retrouvez sur cette page les 10 ressources pédagogiques relayées cette semaine dans le Café pédagogique. L’IA au service de la différenciation en lettres ? L’Intelligence Artificielle peut-elle aider l’enseignant·e
Pas d’énième loi pour la rentrée, mais le maintien de la réforme des groupes de besoins en 6e et 5e avant une évaluation de cohorte sur deux ans. Pas de
Et non ! Ce ne sont pas les syndicats qui demandent un budget mais bien l’Inspection Générale à propos des enseignements pluridisciplinaires au lycée. Dans un rapport, l’IGESR n’est pas
Des classes à 20 ? c’est ce que propose ce professeur d’histoire-géographie : « Il est inutile d’inventer des dispositifs particuliers, d’imaginer une école révolutionnaire, de bricoler des groupes de
Sollicite-t-on les élèves de la même manière quels que soient les contextes sociaux de leurs établissements scolaires ? Ou sont-iels confronté·es à des degrés d’exigences différents qui risquent insidieusement de