Enseignant un métier formidable !
C’est ce qui sourd de l’ouvrage de Jean-Michel Zakhartchouk, Enseignant, un métier à réinventer (éditions Yves Michel). Prof de français, formateur, rédacteur des Cahiers pédagogiques, Jean-Michel Zakhartchouk est un enseignant particulièrement actif et un militant pédagogique convaincu. Par bien des traits son livre nous émeut. Ainsi quand il évoque l’école d’avant 1968 et ses excès autoritaires dont il s’affirme « vacciné », ce qui n’est pas inutile en ce moment. Mais foin de nostalgie, l’auteur se tourne vers l’avenir pour faire des propositions pour l’école. Le Café reviendra plus longuement sur cet ouvrage.
http://www.souffledor.fr/boutique.asp?sid=WNO6IOL77VI463V8KV0L9TG1&proId=2426&provenance=actualite&them%5Fid=%2D1&page=6′,’/menugauche.asp?gaucheChoisi=boutique&sid=WNO6IOL77VI463V8KV0L9TG1′,’/bas.asp?couleur=boutique’)
Fêtes religieuses en 2003
Le calendrier des fêtes religieuses ouvrant droit à autorisations d’absence en 2003 est paru (fêtes orthodoxes, arméniennes, musulmanes, juives et fête bouddhiste). (circulaire du 16 octobre 2002).
http://www.fonction-publique.gouv.fr/communications/textes/161002.htm
Mutations
Le B.O. spécial n°17 est totalement consacré aux mutations 2003. La saisie des demandes débutera le 5 décembre et se terminera le 20 décembre pour les mouvements spécifiques. Elle aura lieu du 3 au 24 janvier pour le mouvement intra-académique. Le B.O. précise les procédures et les règles du mouvement national, les règles de classement , la typologie des postes à exigences particulières, le mouvement des PEGC.
http://www.education.gouv.fr/bo/2002/special17/default.htm
Affectation dans l’enseignement supérieur
Une note du 8 novembre précise les conditions et procédures d’affectation des enseignants du second degré (agrégés et certifiés) dans les établissements d’enseignement supérieur. Le B.O. publie la liste des emplois vacants.
http://www.education.gouv.fr/bo/2002/42/encart.htm
Enseigner à l’étranger
Le B.O. spécial 18 publie la liste des stages de formation à l’étranger en 2002-2003. Le B.O. n°41 diffuse la liste des postes disponibles dans les établissements de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE).
http://www.education.gouv.fr/bo/2002/special18/default.htm
http://www.education.gouv.fr/bo/2002/41/perso.htm
Promotions des personnels de direction
Le B.O. hors-série n°8 publie une liste de personnels de direction admis à la première classe ou à la hors-classe au titre des années 2001 et 2002.
http://www.education.gouv.fr/bo/2002/hs8/som.htm
Manifestation dimanche 8 décembre
Cinq syndicats enseignants, la FCPE et d’autres organisations du monde éducatif appellent à manifester dimanche 8 décembre pour « que le jeune reste au centre du système éducatif » et aussi défendre le budget de l’éducation.
http://www.fcpe.asso.fr/article.aspx?id=193
Quatre syndicats interpellent le ministre sur les aides-éducateurs
Quatre syndicats d’enseignants (SE-Unsa, SGEN, SNES, SNUIpp) ont envoyé une lettre ouverte au ministre où ils rappellent « qu’en 5 ans, la présence des aides-éducateurs a changé la vie des établissements scolaires ». Ils demandent les missions des aides-éducateurs soient reconnues et transformées en emplois statutaires.
http://www.sgen-cfdt.org/actu/article.php3?id_article=28
Les emplois-jeunes : un dispositif professionnalisant
Le CEREQ publie une étude qui analyse l’évolution des emplois-jeunes de l’éducation nationale face au marché de l’emploi. Elle établit que « les emplois-jeunes acquièrent de véritables compétences.. Il exercent des activités correspondant à de réels besoins, telles la surveillance, l’informatique, la documentation, l’aide à l’enseignement ou l’animation ». De fait, plus d’un tiers des emplois-jeunes recrutés en 1997 ont déjà mis un terme à leur contrat, dans la plupart des cas pour occuper un emploi. Ceux-ci ont un emploi généralement à durée indéterminée. Mais le CEREQ relève deux ombres à ce tableau positif. D’une part les emplois-jeunes « souffrent du manque de reconnaissance de leur expérience » : leurs compétences ont rarement été validées dans le cadre d’une procédure V.A.E.. D’autre part « l’avenir professionnel reste préoccupant pour deux catégories : ceux dont le projet n’est pas directement lié à leurs activités et les moins diplômés ». Pour eux, la dégradation de la conjoncture économique oblitère l’avenir.
http://www.cereq.fr/cereq/b190.pdf
http://www.adobe.fr/products/acrobat/readstep.html
Les emplois-jeunes décentralisés ?
La première réunion de concertation sur le remplacement des 5.600 surveillants et 20.000 aides-éducateurs supprimés en 2003 a eu lieu le 4 novembre. Le ministère a annoncé q’il ferait connaître son nouveau dispositif avant les vacances de février et qu’il assurerait le remplacement des surveillants et des 6.000 aides-éducateurs assistant les handicapés. L’avenir des autres aides-éducateurs est encore en suspens. Ils pourraient être financés par les régions. Ainsi la région Poitou-Charentes souhaite prendre en charge les futurs assistants d’éducation assurant la maintenance informatique dans les établissements.
http://actu.voila.fr/Depeche/depeche_emploi_021104184138.c4vyx0d7.html
Le SMS au secours des CPE
« Mon père a été averti (de mon absence) en moins de 5 minutes et il n’a pas du tout gobé l’histoire du bus qui avait du retard » s’indigne, dans Le Parisien du 11 novembre, Fabrice, un collégien grassois victime du nouveau procédé de signalisation des absences. En effet c’est par SMS que 4 établissements de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur préviennent les parents des absences et des retards de leur enfant à l’école. Les textos si prisés des adolescents semblent se retourner contre eux. Sans aller à l’école, les parents apprennent…
http://www.leparisien.com/home/info/permanent/article.htm?themeid=513&articleid=185896845
Décès discret du congé de fin d’activité
Libération a publié le faire-part. Jeudi le ministre de la fonction publique a annoncé l’extinction progressive du congé de fin d’activité qui permettait aux fonctionnaires de prendre leur retraite s’ils avaient 37,5 années de cotisations et atteint 58 ans. Des conditions rarement atteintes dans l’enseignement mais qui bénéficiaient à 10.000 fonctionnaires chaque année. Le privé a déjà mis fin au CFA en 2001.
http://www.liberation.fr/page.php?Article=62607