La FCPE au FSE
La FCPE Ile-de-France participe au Forum Social Européen où elle participe à plusieurs séminaires.
http://www.fcpe.asso.fr/article.aspx?id=316
La FCPE condamne le déremboursement des visites médicales sportives
Dans un communiqué du 31 octobre, la FCPE condamne l’arrêt du remboursement des visites médicales obligatoires pour pratiquer un sport. Pour la FCPE, « encore une fois on pénalise les jeunes des familles les plus modestes… Cette mesure est mesquine et inconséquente ».
http://www.fcpe.asso.fr/article.aspx?id=312
Colloque sur la maltraitance sexuelle
L’Union locale FCPE du centre de Paris organise le 22 novembre, à la mairie du IIIème, un colloque sur la maltraitance et la prévention des abus sexuels. La Direction de l’action sociale, de la santé et de l’enfance de Paris présentera ses actions de sensibilisation en CE2. L’association la voix de l’enfant montrera des outils pédagogiques de prévention.
http://www.fcpe75.org/
L’éducation n’est pas pour toutes
« Malgré les progrès, lents mais réels, enregistrés au cours des années 1990, les filles se heurtent encore à de » fortes discriminations » en matière d’accès à l’école dans la plupart des pays en développement » souligne le Rapport mondial de suivi sur l’Education Pour Tous 2003/2004, publié le 6 novembre par l’Unesco. La parité entre les sexes en matière d’éducation reste une perspective lointaine dans 54 pays, dont 16 pays d’Afrique subsaharienne, le Pakistan et l’Inde. Ainsi l’indice de parité entre les sexes, globalement à 0,93 au primaire, se situe à 0,63 au Tchad, 0,68 au Niger, 0,74 au Pakistan et seulement 0,83 en Inde. Plusieurs facteurs expliquent cette situation comme le coût de l’éducation, le mariage précoce, la violence dans les écoles et même la discrimination « douce » dont sont victimes au quotidien les filles à l’école. La route vers l’Education Pour Tous risque d’être encore longue.
http://portal.unesco.org/education/TEMPLATE/c_153/index_fr.html
L’éducation aux images en question
Pourquoi recherche-t-on les images violentes ? Quel rôle doivent avoir les parents et les éducateurs face à ces images violentes ? Sur SavoirsCDI, Serge Tisseron, psychanalyste et spécialiste de la télévision, montre la nécessité d’une éducation aux images. » L’éducation aux images n’est pas un moyen de prévenir les effets supposés néfastes des images violentes, mais de préparer chacun à vivre avec toutes celles qu’il peut rencontrer, en étant plus intelligent, plus heureux et plus responsable. Et pour y parvenir, elle doit associer trois aspects complémentaires : inviter les enfants à donner du sens aux images qu’ils voient, valoriser la reconnaissance et la mise en forme des émotions ; et enfin apprendre à faire la distinction entre les images matérielles que nous voyons et les images intérieures que nous nous en fabriquons. C’est en effet seulement à cette condition que l’enfant peut s’engager dans une distinction durable entre la réalité et ses images. Envisageons successivement ces trois aspects ».
http://savoirscdi.cndp.fr/rencontrelyon/tisseron/tisseron.htm
Journée DEI France
Sous le titre « Les droits de l’enfant dans la famille et dans les institutions : dangereux défi ou nouvel âge de la démocratie ? » l’association DEI France organise le 15 novembre sa 3ème Journée d’étude à Paris. DEI France milite depuis des années pour le respect des droits de l’enfant et l’application des textes existants.
http://www.globenet.org/enfant
Regard pédagogique sur les messages instantanés
Robert Farmer, professeur à l’Université du Mont Saint-Vincent (Canada) ouvre la réflexion sur les usages pédagogiques de la messagerie instantanée (Instant Messaging, IM), un outil largement plébiscité par les jeunes pour qui, une étude britannique l’a confirmé, il est en train de détrôner le chat. Au Canadé établit R. Former, trois jeunes sur quatre l’utilisent. La technologie est également de plus en plus employée par les entreprises pour la communication interne, relève R. Farmer. Pour lui, cet outil est en adéquation avec les nouvelles valeurs culturelles apportées par la première génération qui a grandi avec l’ordinateur et Internet, mises en évidence par J.L. Frand : faire est plus important que le savoir, la démarche expérimentale est meilleure que la logique, le multi-tâche est un mode de vie, le délai est intolérable, la réalité n’est plus réelle. Dans l’éducation, l’IM peut être un bon outil collaboratif. Elle renforce la présence du tuteur dans l’enseignement à distance, permet des discussions de classe, facilite les procédures d’admission. Elle est aussi porteuse de risques : failles de sécurité dans les ordinateurs, contacts non désirés avec des personnes, perte de temps. Pour R. Farmer, « les étudiants se sont emparés de cette technologie, pas les institutions… L’IM aura-t-elle un avenir comme outil de travail collaboratif ou sera-t-elle vecteur d’un nouveau cauchemar ? De nouvelles recherches sont nécessaires ».
http://www.unb.ca/naweb/proceedings/2003/PaperFarmer.html